FC Barcelone : l'anecdote très inattendue de Martin Braithwaite

Par Matthieu Margueritte
2 min.
Martin Braithwaite sous le maillot du FC Barcelone @Maxppp

Arrivé au FC Barcelone en février dernier, à la surprise générale, le Danois a déjà évoqué son transfert à de nombreuses reprises. Mais visiblement, il avait encore une anecdote à raconter à ce sujet.

A 29 ans, Martin Braithwaite a profité du règlement du championnat espagnol pour réaliser un rêve qu’il n’aurait jamais cru possible. Joueur de Leganés depuis la saison 2018/2019, l’attaquant danois passé par Toulouse (2013-2017) et Bordeaux (2018) a bénéficié des blessures en cascade au sein de l’attaque du FC Barcelone pour être recruté en urgence par les Catalans contre 18 M€. Un transfert rendu possible grâce au règlement du championnat espagnol (Leganés n’a toutefois pas pu lui recruter un remplaçant).

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Braithwaite n’a disputé que trois matches avec les Blaugranas avant l’arrêt forcé de la Liga, mais il a déjà l’occasion de revenir sur les dessous de son arrivée inattendue dans le vestiaire des coéquipiers de Lionel Messi. Un événement inespéré qu’il compte bien rentabiliser. Alors qu’un départ dès cet été était annoncé, le Scandinave a bien fait savoir qu’il ne comptait pas s’asseoir sur les quatre années de contrat (2024) dont il dispose.

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Il n'avait rien dit à sa femme

En attendant de savoir s’il parviendra à rester au Barça pendant plusieurs années, Braithwaite est une nouvelle fois revenu sur son transfert dans les colonnes du Daily Mail. L’occasion pour lui de confier une anecdote assez amusante. « Je n’en ai parlé à personne. Je me disais que si ma femme n’était pas la première personne au courant, ce serait comme un manque de respect parce que nous vivions ensemble. Mais elle sentait que quelque chose se tramait. Je passais beaucoup de temps au téléphone, je me faufilais hors de la maison alors qu’il faisait très froid dehors », a-t-il déclaré, avant de continuer.

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« Elle se posait des questions. Elle se demandait si j’avais une maîtresse ! Le jour où je voulais tout lui dire, tout est sorti dans la presse. Et je me suis dit : « oh merde ! » J’ai dû lui dire de s’asseoir un soir et je lui dit : « j’ai quelque chose à te dire. » Elle m’a simplement répondu: « je sais ce dont tu vas me parler », parce que son téléphone n’arrêtait pas de sonner, comme le mien. J’étais déçu qu’elle n’ait pas eu de grosse réaction, mais elle était heureuse. » Sacré Martin !

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