Ligue 1

OL : le premier bilan de Jimmy Briand

Jimmy Briand a ouvert son compteur but le week-end dernier avec un doublé salvateur pour l’OL et Claude Puel. L’occasion pour lui de revenir sur son adaptation à son nouveau club et à sa nouvelle vie.

Par Aurélien Léger-Moëc
2 min.
Olympique Lyonnais Jimmy Briand Maxppp

Contrairement à Gourcuff, il est arrivé au tout début du mercato et pour un prix très raisonnable (6 M€). Du coup, la pression est beaucoup moins grande sur les épaules de Jimmy Briand à l’Olympique Lyonnais. Pourtant, sa tâche n’est pas moins rude que celle de son coéquipier. L’ancien Rennais doit succéder à Sidney Govou, véritable institution à Lyon. En ce début de saison très compliqué pour les joueurs de Claude Puel, il est difficile pour Briand de se montrer sous son meilleur jour.

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Interrogé sur le site officiel du club lyonnais, il est revenu sur son dernier mois de compétition. « Mon mois de septembre a été à l’image de celui de l’équipe. On a eu des résultats moyens en championnat, alors qu’en Ligue des Champions, nous avons répondu présents. C’est une autre compétition. Difficile de comparer, mais il est certain qu’il ne fallait pas prendre de retard avec seulement six matchs de poule. Après, on va tout faire pour enchainer et remonter au classement en championnat », affirme-t-il avant de revenir sur son doublé face à Nancy, qui a enfin débloqué son compteur but. « Ce n’est pas une délivrance. Le plus important, c’est que l’équipe ait gagné, qu’elle gagne. Moi, je ne m’intéresse pas vraiment aux statistiques. Il y a d’autres paramètres en prendre en compte lorsque l’on parle de la performance d’un joueur. Je n’ai pas eu vraiment beaucoup d’occasions franches de buts… », avoue-t-il.

Si les occasions de but se font encore rares pour Briand, ce dernier a en revanche trouvé ses marques dans le groupe rhodanien. « Je me suis senti tout de suite bien dans ce groupe. Je connaissais depuis longtemps Yoann. Tout se passe bien. Et puis je ne suis pas difficile à vivre. Je suis toujours content. Il y a pire métier que le nôtre dans la vie. En dehors du football, en septembre, je me suis installé avec ma famille. Je suis devenu un vrai Lyonnais… », raconte-t-il. Certains argueront qu’il lui faudra empiler les buts et les succès pour devenir un Lyonnais emblématique comme Juninho ou Govou. Il a le temps devant lui.

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