L'arrivée de Rafael Van Der Vaart et le vrai faux transfert de Cristiano Ronaldo ont probablement bouclé le recrutement estival du Real Madrid. Si une telle campagne suscite pas mal d'interrogations, les dirigeants merengues suivent leur feuille de route à la lettre sans se soucier des qu'en-dira-t-on. Le prochain objectif de la Casa Blanca est donc de dégraisser un effectif assez étoffé, notemment dans l'entrejeu où des départs sont inévitables pour faire de la place à la nouvelle recrue.
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Après avoir bouclé des transferts de Granero, Soldado (Getafe), Parejo (QPR), Callejón (Espanyol), Cassano (Sampdoria) et de Pablo Garcia (libre), le Real n'en a pas fini avec sa lessive. Le prochain joueur à quitter le navire blanc sera sans doute le Brésilien Julio Baptista. Convoitée par l'AS Rome, La « Bestia » a donné son accord pour rejoindre les Giallorossi qui offriraient entre 10 et 12 M€, soit la moitié de ce qu'avaient dépensé les Madrilènes pour sa venue en 2005.
L'ancien Sévillan pourrait être rejoint à Rome par le Hollandais Royston Drenthe. Déjà approché par des clubs de Serie A comme la Fiorentina, le Batave est une des solutions de rechange au cas où les Romains échoueraient dans le dossier Malouda. Capable de jouer sur le côté gauche en tant que latéral ou milieu de terrain, l'ex-joueur de Feyenoord est estimé à 10 M€.
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Robinho (Photo) et Ruben De la Red complètent la liste des milieux indésirables. Le premier a émis le souhait de rejoindre les Londoniens de Chelsea, mais le dossier traine en longueur. Madrid souhaitant récupérer au moins 30 M€ pour l'international auriverde. Concernant De la Red, Arsenal est la dernière équipe à s'être manifestée. Les Gunners ont proposé 12 M€ pour celui qui a été l'un des artisans de l'épopée de Getafe en coupe de l'UEFA cette saison.
Javier Saviola est le dernier de cette black list mais l'Argentin ne parvient pas à trouver preneur.
_ Plutôt discret sur le plan des arrivées, Madrid pourrait finalement se distinguer en brillant davantage côté départ. Les mercato clinquant semblent donc révolus pour des Merengues qui ont préféré jouer la carte de la stabilité.
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