Javier Pastore se remémore les Classico les plus compliqués qu'il a disputés

Par Lucas Bensimon
2 min.
Javier Pastore sur le banc lorsqu'il était au PSG @Maxppp

Première grosse recrue de l'ère QSI, Javier Pastore, malgré ses pépins physiques l'écartant trop souvent des terrains, reste dans la mémoire collective des supporters parisiens comme l'un des joueurs préférés du Parc des Princes au cours des dix dernières années. Actuellement à Elche, il ne sera pas au Parc des Princes dimanche à l'occasion du Classico, mais dans les colonnes du Parisien, il se remémore les oppositions les plus compliquées face à l'OM : « le 2-2 en octobre 2017. C’était compliqué, on prend un rouge avec Neymar et puis Cavani nous sort un super coup franc dans le temps additionnel. J’étais sur le banc et là j’ai couru vers lui pour aller l’embrasser ! Il y avait eu beaucoup d’ambiance pendant le match, mais après ce but de Cavani, c’est resté tout calme (rires). Le seul bruit qui sortait du Vélodrome, c’était nous qui crions : « Goal, goal ! » C’était génial.»

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Si cette première anecdote ravive de bons souvenirs chez celui que l'on surnomme El Flaco, le récit de son premier Classico lui procure l'effet inverse (défaite 3-0) : «je me rappelle très bien de ce match, car après je n’ai plus perdu contre l’OM (rires). C’était super difficile pour nous, l’OM avait joué avec beaucoup de pression, le stade était plein. C’était incroyable de jouer là-bas car tout le monde était contre nous. Et j’aime ce genre d’atmosphère ! Mais après le match, l’ambiance était morte dans le vestiaire, personne ne parlait, personne ne se regardait dans les yeux, le trajet du retour avait été long. Même les jours d’après, c’était difficile, je voulais à tout prix jouer le match suivant pour l’oublier.»

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