Isco a déclenché une polémique hier après-midi à laquelle il s'est chargé de répondre au coeur de la nuit. Tout en glissant une indication quant à son avenir.
Le 23 avril prochain aura lieu le match décisif de la Liga, le fameux clasico entre le Real Madrid et le FC Barcelone. Et devinez quoi, les premières polémiques sont déjà lancées. Outre celles sur l'arbitrage régulièrement alimentées tout au long de la saison... Il a fallu une maladresse d'Isco hier pour que la machine s'emballe. Une photo sur Instagram, où il dit profiter d'un après-midi avec ses amis. Le problème : un paquet de chips aux couleurs du Barça posé sur la table (la photo a été retirée, puis republiée sans le paquet de chips). Soit un faux pas pour les supporters madrilènes, qui ont déjà du mal à accepter le passé d'Isco, qui s'était déclaré fan du Barça dans sa jeunesse, voire anti-Real.
La polémique a donc enflé sur les réseaux, à tel point qu'Isco a dû se défendre sur Twitter. Il a ainsi publié deux tweets disant : « Je ne vais pas signer au Barça, les relous ! Avec cette photo je voulais juste dire qu'on va les manger ;) #HalaMadrid », puis « D'ailleurs j'en ai même pas mangé (des chips, ndlr). C'est un coup de mes potes pour me mettre un coup de pression ». De quoi rassurer les supporters madrilènes sur sa motivation pour le prochain Clasico, mais pas seulement.
En effet, Isco est dans le viseur du Barça et a plusieurs fois fait la Une des journaux espagnols à ce sujet. Une clause dans son contrat au Real Madrid l'empêcherait de rejoindre le club blaugrana mais selon As, les dirigeants catalans ont approché l'entourage de l'international espagnol de 24 ans pour le convaincre de signer... à l'issue de son contrat au Real, qui s'achève en 2018. Le premier tweet du joueur merengue semble donc donner une réponse définitive sur le sujet.
Que no me voy al barça pesados!! Con la foto queria decir que nos lo vamos a comer con patatas #HalaMadrid!!
— ISCO ALARCON (@isco_alarcon) 6 avril 2017
Por cierto ni las he probado! Han sido mis amigos para meterme caña
— ISCO ALARCON (@isco_alarcon) 6 avril 2017
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