Mis de côté par Unai Emery, le défenseur du Paris Saint-Germain semble payer les difficiles négociations pour sa prolongation de contrat. Et cela ne s'arrange pas selon RMC.
Il devait être l'un des grands gagnants de l'été. Titularisé en début de saison par Unai Emery en raison des absences de Thiago Silva (blessure) et de Marquinhos (Jeux Olympiques), Presnel Kimpembe avait fait forte impression aux côtés de David Luiz. Mieux, après le départ de son acolyte brésilien à Chelsea, le jeune joueur âgé de 21 ans était promis à un rôle de troisième choix, Paris n'ayant pas remplacé l'international auriverde.
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Une excellente nouvelle pour le Francilien, le grand nombre de matches promis au PSG lui garantissant un temps de jeu conséquent. Cet exercice 2016/2017 s'annonçait même très prometteur suite à sa récente convocation en équipe de France en octobre dernier. Et puis tout s'est arrêté. Laissé de côté par Emery depuis trois semaines, Kimpembe a joué son dernier match avec Paris le 15 octobre dernier face à Nancy (2-1). Un revirement de situation dû aux tractations compliquées avec ses dirigeants au sujet de sa prolongation.
Kimpembe repousse deux offres du PSG
Gourmand, Kimpembe veut bénéficier d'un traitement salarial à la hauteur de celui dont profite Adrien Rabiot (250 000€ bruts par mois). Un désir que n'est pas prêt à accepter le Paris Saint-Germain dont le but n'est pas pour autant de se fâcher avec son élément prometteur. Selon SFR Sport, les Rouge-et-Bleu sont même revenus vers lui avec deux contre-propositions. Après lui avoir offert 100 000€ mensuels, les décideurs parisiens lui ont successivement proposé 130 000€ puis 150 000€ par mois.
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Deux offres repoussées d'un revers de la main par le joueur. Visiblement décidé à obtenir ces 250 000€ mensuels, Kimpembe ne veut rien lâcher. Les deux parties iront-elles au clash ? Une telle situation est toutefois regrettable au vu des performances du jeune Parisien en début de saison. Mais pas seulement. Hier, après la sortie prématurée de Thiago Silva contre Bâle après un choix avec Aréola, Emery a dû bricoler en positionnant Krychowiak en défense centrale alors que Kimpembe était présent, mais en tribune.
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