Ligue des Champions

Le Paris Saint-Germain ne fait pas si peur que ça à Madrid...

Les réactions à l'annonce du choc entre le, club de la capitale et la Casa Blanca se succèdent. Et si le microcosme madrilène est d'accord pour dire que le tirage Benfica était meilleur, le PSG ne fait pas si peur que ça.

Par Matthieu Margueritte
1 min.
Le joie des Parisiens contre le RB Leipzig, le 3 novembre 2021 @Maxppp

Keylor Navas, Gianluigi Donnarumma, Thibaut Courtois, Sergio Ramos, Marquinhos, Achraf Hakimi, Toni Kroos, Luka Modric, Marco Verratti, Eduardo Camavinga, Eden Hazard, Rodrigo, Angel Di Maria, Georginio Wijnaldum, Karim Benzema, Lionel Messi, Neymar, Kylian Mbappé. Sur le papier, le PSG-Real Madrid qui s’annonce en huitièmes de finale de Ligue des Champions sera l’affiche la plus clinquante, en termes de noms.

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Tombés sur Paris alors qu’ils s’attendaient surtout à défier Benfica, les Merengues pouvaient l’avoir mauvaise. En effet, les deux clubs font partie des favoris au sacre final et ne voulaient pas vraiment s’affronter aussi tôt. Mais si le PSG était, avec Chelsea, l’une des deux équipes sur lesquelles les premiers de groupe ne souhaitaient pas tomber, les Rouge-et-Beu ne sont pas non plus considérés comme imbattables. Loin de là.

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Des noms ronflants, mais beaucoup de faiblesses

En effet, la presse madrilène a des yeux, comme nous, et elle a logiquement repéré les gros points faibles de l’équipe entraînée par Mauricio Pochettino. AS a ainsi souligné le « peu de jeu collectif » francilien. « Le PSG a des problèmes dans son fonctionnement de groupe et fait souvent la différence grâce ses individualités ». Des individualités dont le point faible a, là aussi, été facilement identifié.

« Un star-system avec beaucoup de fissures. Les trois de devant ne "travaillent" pas et la défense les accuse », écrit Marca, qui ajoute que la MNM n’a pas non plus affiché le rendement espéré en attaque. « Messi, Neymar et Mbappé forment un trio de rêve, mais son faible repli défensif a provoqué des problèmes pour Pochettino lors des matches de Ligue des Champions », ajoute AS. Opposé à une équipe ayant peut-être moins de noms clinquants, mais collectivement bien mieux rodée, le PSG a deux mois pour réagir.

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