LdC : Guardiola envoie un message cash au Real Madrid

Par Dahbia Hattabi
2 min.
Pep Guardiola @Maxppp

Ce mardi, Bernardo Silva a accompagné Pep Guardiola devant les journalistes à la veille d’affronter le Real Madrid en 1/4 de finale retour de l’UEFA Champions League. Le Portugais, qui a avoué respecter les Merengues, a également affiché ses ambitions dans cette compétition et plus largement cette saison. «Je suis évidemment inspiré et motivé par ce que cette équipe a fait depuis mon arrivée. Nous voulons créer cet héritage. Nous voulons une autre Premier League, remporter la Ligue des Champions pour la deuxième fois consécutive, ce que personne n’a jamais fait.» L’idée est d’entrer dans l’histoire. Pour cela, il faudra prendre le meilleur sur les Madrilènes. Un match particulier pour l’ancien du Barça, Guardiola. «Il l’a toujours été et le sera toujours. C’est spécial pour moi, mais cela ne compte pas. L’important est de savoir ce que nous devons faire pour gagner demain. Changer certaines choses et essayer d’être performants, meilleurs.»

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Il a ensuite évacué la pression quand on lui a rappelé la rencontre de l’an dernier et la pression subie. J’espère que non, nous avons besoin de cette pression. Si vous pensez que vous l’avez déjà fait… nous n’en aurons pas plus. J’ai faim de participer à ces matches. Nous devons apporter la bonne énergie et nous avons besoin de tout le monde. Parfois, il faut souffrir car il est impossible de dominer pendant 90 minutes. Nous sommes prêts à jouer au niveau maximum. Enfin, il a été invité à s’exprimer sur le fait que les Merengues sont meilleurs que l’an dernier. «Je ne vais pas dire que je ne suis pas d’accord … mais l’année dernière, avec des joueurs différents, ils avaient une grande équipe. Benzema, Modric, c’est une équipe exceptionnelle. Je sais que quand je dis des choses positives sur Madrid, les gens ne me croient pas. Quand j’étais footballeur ou maintenant en tant qu’entraîneur, les gens regardent mes commentaires et je ne peux pas contrôler ça (…) Peur de Madrid ? Je les respecte beaucoup, mais je n’ai pas peur. Je les félicite car je le pense. Vous ne me croyez pas. Si je parle de la pelouse à la fin, c’est leur problème, mais s’ils pensent que c’est bien, alors très bien. Si jamais ils me battent, cela s’est produit plusieurs fois, nous les féliciterons et bonne chance pour l’avenir.» Le message est passé.

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