Samir Nasri va prendre un an de suspension !

Par Maxime Barbaud
2 min.
Samir Nasri @Maxppp

Au cœur d'une affaire de dopage, Samir Nasri devrait être suspendu d'un an de toutes compétitions par l'UEFA en début de semaine prochaine. C'est ce qu'affirme Marca ce samedi.

Le ciel s'assombrit dangereusement pour Samir Nasri. Libre comme l'air depuis la résiliation de son contrat du côté d'Antalyaspor le 31 janvier dernier, le joueur était proche de revenir en Espagne. En début de semaine, Marca informait d'un intérêt de Las Palmas pour le natif de Marseille. Finalement, le deal ne s'est pas conclu notamment à cause de Paco Jémez qui ne voulait du joueur. Tant pis pour Nasri qui a d'autres chats à fouetter en ce moment car il n'est pas près de retrouver les terrains.

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Selon Marca, l'ancien joueur de Manchester City va prendre un an de suspension par la commission de discipline de l'UEFA. Cette sanction sera rendue officielle en début de semaine prochaine mais la publication espagnole s'est déjà procurée l'information. La cause ? Une affaire de dopage révélée le mois dernier. Lorsqu'il évoluait au FC Séville lors de la saison 2016/2017, le joueur a eu recours à des transfusions sanguines, une pratique assez commune dans le monde du dopage, mais qui est bien entendue interdite dans le sport professionnel comme amateur. C'est l'agence anti-dopage espagnole qui avait enquêté. Nasri risquait alors jusqu'à 4 ans de suspension.

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Cette histoire de transfusion avait débuté en décembre 2016. À l'époque, l'international français avait publié sur les réseaux sociaux une photo de lui en compagnie d'une infirmière où il remerciait la clinique Drip Doctors, située aux États-Unis, le tout accompagné de messages à caractère sexuels. À l'époque, l'ancienne compagne du joueur avait été accusée d'avoir hacké le compte Twitter du joueur. Jusque-là, le joueur avait surtout récolté des moqueries quant à cette mésaventure mais les conséquences sont aujourd'hui beaucoup moins drôle pour lui. La clinique en question avait réagi sur le réseau social, confirmant qu'elle avait procédé à un traitement intraveineux. Un message lourd de sens puisqu'il avait poussé l'agence anti-dopage espagnole à enquêter.

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