En marge du dossier Neymar, le club de la capitale s'active pour engager un numéro 9 suite aux blessures d'Edinson Cavani et de Kylian Mbappé. Mais l'affaire n'est pas facile.
A l'heure actuelle, le téléphone de Leonardo doit bouillir. Depuis plusieurs semaines, le directeur sportif du Paris Saint-Germain doit gérer le cas Neymar. Ces dernières heures, les négociations avec le FC Barcelone se sont d'ailleurs intensifiées, même si l'issue du dossier demeure très incertaine. Et si le Brésilien plie bagage, qui pour le remplacer ? Plusieurs noms ont déjà été avancés et aujourd'hui, l'Argentin de la Juventus Paulo Dybala semble être la priorité de "Leo".
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Un événement majeur a toutefois modifié les plans du dirigeant parisien. Dimanche dernier, le club de la capitale s'est facilement défait de Toulouse (4-0), mais sa soirée s'est transformée en cauchemar avec les sorties sur blessure d'Edinson Cavani et Kylian Mbappé. Deux fers de lance de l'attaque rouge et bleu dont la durée d'indisponibilité est d'un bon mois environ (surtout en ce qui concerne le natif de Bondy). De quoi embêter le PSG. Même si Neymar reste, le seul véritable attaquant de pointe restant est Eric-Maxim Choupo-Moting.
Une mission compliquée
Auteur d'un doublé face au TFC, le Camerounais est un élément apprécié par le public et le vestiaire parisien. Mais sans doute trop léger pour les échéances importantes à venir (le choc face à l'OL le 22 septembre et les débuts en Ligue des Champions), notamment en Coupe d'Europe (s'il est toujours là, Neymar est suspendu pour les trois premiers matches). Dès lors, L'Equipe confirme que la direction francilienne réfléchit de plus en plus à engager un attaquant de pointe.
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Hier, les médias italiens ont évoqué en ce sens un intérêt pour le Bianconero Mario Mandzukic. Une cible déjà à oublier, le Croate ayant repousse l'offre parisienne. Le quotidien précise que plusieurs profils d'attaquants ont été proposé à Leonardo, mais sans suite pour le moment. Ce dossier a-t-il une chance d'aboutir ? Trouver un élément capable d'être immédiatement opérationnel et prêt à s'asseoir sur le banc dans un mois n'est pas une mince affaire, à quatre jours de la fin du mercato.
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