PSG : Zlatan Ibrahimovic fracasse les supporters !

Par Khaled Karouri
2 min.
PSG Zlatan Ibrahimović @Maxppp

Zlatan Ibrahimovic est en colère. Agacé par les sifflets réguliers du Parc des Princes et notamment hier soir au cours de la victoire face à Rennes en championnat, l’avant-centre suédois a mitraillé les supporters à l’issue de la partie.

Le Paris Saint-Germain est venu à bout du Stade Rennais ce vendredi soir, en match d’ouverture de la 23ème journée du championnat de France de Ligue 1 (1-0). Un résultat intéressant mathématiquement parlant, puisqu’il permet aux Franciliens de se replacer à la deuxième place et de revenir à seulement une longueur de l’OL en attendant les résultats à venir ce week-end. Pour autant, malgré cette bonne nouvelle, le public présent hier soir dans les travées du Parc des Princes était loin d’être aux anges.

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Face à une nouvelle performance globalement indigente de leurs joueurs, les supporters ont ainsi cru bon de siffler tout au long de la partie. Certains, tels Rabiot ou Cavani, ont ainsi eu droit à un accueil pour le moins contrasté. Et ça, ça a le don d’agacer prodigieusement un certain Zlatan Ibrahimovic ! Vice-capitaine des Rouge-et-Bleu, le géant scandinave a eu du mal à supporter les sifflets descendus des tribunes et, à l’issue de la rencontre, a décidé de le faire savoir en attaquant frontalement les fans parisiens, allant même jusqu’à critiquer le club version avant QSI :

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« À propos des sifflets, je suis dépité. Nous avons fait un très bon match, nous avons gagné, je ne comprends pas. Des sifflets comme ça ? Nous ne comprenons pas ce que les gens veulent ! Que l’on gagne ou que l’on perde, les gens sifflent ! Peut-être qu’ils avaient l’habitude de manger du caviar avant que l’on vienne ? Le but marqué était extraordinaire. Sans doute le plus beau cette saison ». Des propos qui rappellent forcément ceux qu’il avait tenu en 2013 : « À Paris, les gens demandent beaucoup de choses. C’est un peu bizarre quand on pense à ce qu’ils avaient avant, parce qu’avant, c’est un peu comme s’il n’y avait rien eu ici ». Du Ibra dans le texte…

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