Avant une semaine décisive avec le retour de la Ligue des Champions et le Clasico, le Real Madrid n’en finit plus de s’en prendre aux décisions arbitrales.
La rencontre entre le Séville FC et le Real Madrid avait été électrique (1-1). Mais au-delà des tensions entre plusieurs joueurs, dont notamment Sergio Ramos et Antonio Rüdiger, la prestation de l’arbitre M. De Burgos Bengoetxea avait agacé la presse madrilène et Carlo Ancelotti. Un penalty aurait notamment été oublié sur Vinicius Jr, plusieurs fautes n’auraient pas été sifflées en faveur du Real Madrid et peu de cartons jaunes auraient été distribués pour les joueurs andalous.
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Un arbitrage qui aurait agacé le Real Madrid en interne. Notamment avant une semaine décisive pour la saison du club merengue, avec un déplacement sur la pelouse du Sporting Braga en Ligue des Champions, puis un déplacement chez le FC Barcelone, pour un Clasico qui pourrait bousculer le classement du Championnat d’Espagne. Conscient de cela, le Real Madrid compte continuer de faire pression sur le corps arbitral, puisqu’il s’estime lésé par les décisions des dernières semaines.
Carlo Ancelotti critique envers les arbitres
Comme l’a fait savoir AS, le Real Madrid compte rester discret à ce sujet lors des conférences de presse, mais n’hésitera pas à aborder le sujet sur sa chaîne Real Madrid TV et a même demandé à Carlo Ancelotti de jouer le jeu avant le Clasico. «L’ironie est la seule solution. Parce que si je dis ce que je pense, je vais prendre beaucoup de matchs. Alors pour éviter les suspensions, j’utilise l’ironie», avait-il expliqué au micro du club, après la rencontre contre Séville.
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Par la voix de son président, José María del Nido Jr, le FC Séville avait d’ailleurs critiqué ces pratiques : «Je demande au Real Madrid de réfléchir, d’arrêter de mener ce type d’actions qui ne sont pas bonnes pour la compétition». À l’instar de Xavi, qui a défendu le corps arbitral : «il y a un arbitre qui décide. Ce sont des matchs qu’une personne doit arbitrer. Je ne peux pas parler au nom de l’arbitre. Chacun défend son truc». Un moyen de pression qui devrait également faire jaser auprès de la presse catalane…
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