AS Roma : Garcia souligne les différences entre la France et l'Italie

Par Raphael Didio
1 min.

France Football a décerné le titre de meilleur entraîneur français de l'année 2013 à Rudi Garcia comme le révèle son édition du jour. Interviewé par l'hebdomadaire, l'entraîneur de l'AS Roma, qui s'est montré surpris par sa récompense, est revenu sur son arrivée dans la capitale italienne, son adaptation, et notamment quelques différences entre la France et l'Italie, que ce soit au niveau des entraînements ou encore des primes :

La suite après cette publicité

«Les staffs sont plus imposants ici. A Rome, on est dix-huit. Et comme en Italie on peut inscrire vingt-trois joueurs sur la feuille de match, vous voyez un peu ce que ça donne en déplacement... Avant, il y avait une grande table pour les joueurs et une petite pour le staff. Aujourd'hui, il n'y a plus que des grandes tables. L'avantage, c'est que tout le monde est concerné. Si cela coûte plus cher ? Non, car cela fait plusieurs années qu'il n'y a plus de primes de match. On pourrait emmener cinquante personnes que cela ne changerait pas grand-chose. Si c'est une particularité romaine ? Non, italienne. On m'a expliqué que les clubs n'en versaient plus. Je trouve ça logique. D'autant que les joueurs ne jouent pas pour décrocher des primes. En Italie, vous ne verrez jamais des joueurs réclamer une prime à leur président dans le vestiaire. C'est un peu dommage pour les jeunes qui pouvaient augmenter leur rémunération grâce à la part variable. Mais il y a des primes d'objectif». Reste à savoir si cette méthode serait vu d'un bon œil dans l’Hexagone...

La suite après cette publicité

Fil info

La suite après cette publicité