Youcef Belaïli explique le choix de rejoindre le Stade Brestois

Par Maxime Barbaud
2 min.
Youcef Belaïli lors de la Coupe Arabe remportée par l'Algérie @Maxppp

Dans les dernières heures du mercato, le Stade Brestois a perdu Romain Faivre, vendu 18 M€ à l'OL, mais a récupéré Youcef Belaïli, arrivé libre de tout contrat depuis la fin de son aventure avec le Qatar SC. La venue de l'international algérien a suscité un énorme engouement, notamment sur les réseaux sociaux où les suiveurs du milieu offensif ont fait exploser les abonnements et les notifications du club breton. « Au fur et à mesure que la rumeur enflait, on gagnait des abonnés sur nos différents comptes. On ne comprenait pas vraiment ce qui se passait, jusqu’au moment où on a découvert que Youcef Belaïli avait 3 millions d’abonnés sur Instagram… soit plus que l’Olympique de Marseille (2,1 millions) ! » expliquait Florent Corre, le responsable de la communication à Ouest France. « Sur Facebook, on est passé de 144 000 abonnés à 512 000. Sur Twitter, de 91 000 à 98 000. Sur Instagram, de 79 000 à 211 000. Et sur TikTok, de 126 000 à 176 000 ! »

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Place au terrain maintenant. Le joueur de 29 ans compte bien aider le Stade Brestois à se maintenir en Ligue 1 où il occupe actuellement la 13e place après 22 journées. Le choix des Ty Zefs a pu en surprendre plus d'un car Belaïli était particulièrement suivi dans notre championnat, notamment par des équipes de plus grandes renommées. Il a pourtant décidé de partir en Bretagne, lui qui revient en France après un premier passage manqué du côté d'Angers lors de la saison 2017/2018. «On ne m’a pas donné la chance de jouer quand j’étais à Angers (1 apparition). C’est pour ça que je suis rentré, pour jouer avec l’Esperance de Tunis où j’ai gagné deux Ligue des champions, deux Supercoupes, j’ai gagné la CAN et la Coupe Arabe avec l’équipe nationale. Après j’ai décidé de revenir en Europe pour progresser», assure le coéquipier de Haris Belkebla en équipe nationale, qui a donc une petite revanche à prendre. «Pour tout donner en Europe, pour monter qui est Youcef aux gens. Brest c’est un bon chemin pour développer cela.»

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