Real Madrid, Brésil : énorme retournement de situation pour Carlo Ancelotti !
Alors que tout indiquait que l’entraîneur italien allait poursuivre sa carrière au Brésil, tout a changé dans la nuit de mardi à mercredi…

Les médias espagnols et brésiliens n’avaient que très peu de doutes : Carlo Ancelotti allait quitter son poste d’entraîneur du Real Madrid d’un commun accord avec la direction merengue afin de prendre les commandes de la sélection brésilienne. Certaines publications du pays sud-américain évoquaient même un accord déjà scellé entre les deux parties, avec un salaire de 10 millions d’euros net pour le tacticien transalpin, convoité de longue date par les décideurs de la Canarinha. Il se disait même qu’il allait être sur le banc lors des prochains matchs de la sélection, face à l’Équateur et le Paraguay début juin.
Mais si on utilise le passé, c’est parce que tout est tombé à l’eau dans la nuit. Comme l’indique Globo, la CBF, Fédération brésilienne, a mis fin aux négociations avec l’entraîneur italien. Et pour cause, le Real Madrid refuse de payer les indemnités de départ du coach italien, sous contrat jusqu’en 2026, ne le "libérant" pas, puisqu’Ancelotti ne compte pas partir sans compensation.
Le Real Madrid bloque
Au départ, tout indiquait que Florentino Pérez allait accepter de laisser filer Carlo Ancelotti, tout en lui reversant sa dernière année de contrat. Mais le patron du Real Madrid - Relevo confirme l’information du média brésilien - se serait énervé en découvrant les négociations de l’Italien dans le dos des Merengues, et il refuse désormais de lui verser le moindre euro. Si Ancelotti veut partir maintenant, il ne touchera pas le moindre centime du Real Madrid, ce que l’Italien n’est pas disposé à accepter. Une question de timing avant tout, et la presse espagnole explique même qu’Ancelotti pourrait finalement être l’entraîneur du club de la capitale espagnole pour le Mondial des Clubs qui démarre à la mi-mai.
De son côté, Marca dévoile une autre raison de ce bouleversement : Carlo Ancelotti a une offre colossale sur la table en provenance d’Arabie saoudite, avec un salaire de 50 millions d’euros net par saison. Il est tenté, et son avenir pourrait donc plutôt s’écrire du côté du Proche-Orient et non en Amérique du Sud ou en Europe. Affaire à suivre…
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