Mercato : l’OL a dégainé une offre de 19 M€ pour recruter le Brésilien João Gomes !

Par Matthieu Margueritte
1 min.
João Gomes, de Flamengo, lors d'un match de Copa Libertadores entre Corinthians et Flamengo @Maxppp

En quête de renforts pour cet hiver, les Gones ont flashé sur un jeune milieu brésilien qui évolue à Flamengo.

Présent à Lyon le week-end dernier, pour la première fois depuis qu’il a officiellement racheté l’Olympique Lyonnais, John Textor n’a pas été très chanceux. Les hommes de Laurent Blanc ont été battus à domicile par Strasbourg (1-2) et une nouvelle colère des supporters lyonnais a éclaté. Mais l’Américain n’a pas perdu le sourire.

La suite après cette publicité

Dans les médias, il a même lâché une petite bombe concernant le mercato des Gones. « Il y a un joueur que j’aimerais beaucoup faire venir et que Laurent Blanc et Bruno Cheyrou ont identifié depuis longtemps. Il est possible que j’aille le voir, parce que je pense que la démarche de me déplacer peut compter pour le convaincre. »

À lire L’OL entre dans l’histoire de la Ligue 1

L’offre lyonnaise est meilleure

Et il se pourrait bien que Textor parle peut-être de João Gomes. UOL Esporte révèle en effet que l’OL a fait irruption dans ce dossier en offrant à Flamengo 19 M€, à savoir 17 M€ fixes plus 2 M€ de bonus. L’objectif des Gones est de doubler les Anglais de Wolverhampton qui se sont également positionnés sur le jeune milieu de terrain récupérateur âgé de 21 ans. Les Wolves ont offert moins d’argent (15 M€ + 2 M€ de bonus) et un salaire moins conséquent que celui proposé par les Lyonnais et s’attendaient à voir débarquer un courtisan.

La suite après cette publicité

En effet, UOL indique que la direction britannique avait envoyé tous les papiers au Mengão pour finaliser le deal, mais les Cariocas n’ont jamais répondu. Wolverhampton a donc senti le vent tourner et ne s’est pas trompé. Nous pouvons vous confirmer l’offre rhodanienne, mais l’affaire est encore loin d’être gagnée pour l’OL puisque João Gomes préfèrerait signer chez les Anglais. Affaire à suivre.

La suite après cette publicité

Fil info

La suite après cette publicité