Les défenseurs d'Arsenal comparés à des clowns, Kevin De Bruyne met la pression à Liverpool

Par Quentin Dagbert
2 min.
La revue de presse du 16 septembre 2019 @Maxppp

La guerre des mots entre Antonio Conte et Maurizio Sarri, les défenseurs d'Arsenal comparés à des clowns, Kevin De Bruyne prévient Liverpool, voici votre revue de presse du jour.

Les "clowns" David Luiz et Sokratis

En Angleterre, c'est la soupe à la grimace pour Arsenal, tenu en échec par Watford (2-2), alors que les Gunners menaient 2-0 jusqu'à la 53e minute. Et à cette occasion, les défenseurs d'Arsenal sont comparés à des «clowns» dans le Daily Mail du jour. «David Luiz et Sokratis lèvent les mains pour défendre, c'est louche», fustige même le tabloïd anglais. Il faut dire que le Grec a d’abord offert le premier but aux Hornets sur une passe dans l’axe qui était téléphonée. Juste après, c'est le Brésilien qui commet une faute dans la surface, synonyme de penalty et d’égalisation.

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De Bruyne certain de rattraper Liverpool

Toujours chez les Anglais, Kevin De Bruyne n'a pas sa langue dans sa poche, après avoir pourtant perdu face au promu Norwich ce week-end. Interrogé sur les cinq points qui séparent désormais Liverpool et Manchester City au classement de la Premier League, le Belge s'en est amusé en déclarant : «la saison dernière, nous avions sept points de retard, et pourtant on l'a quand même fait». Une façon de lancer un message aux Reds, en leur rappelant que le championnat ne fait que commencer...

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Sarri et Conte, ce n'est que le début

En Italie, Maurizio Sarri l’entraîneur de la Juve, et Antonio Conte, celui de l'Inter et ex de la Juve, se font la guerre à distance. Et «ce n'est que le début», prévient le journal Tuttosport. Sarri s’était d'abord plaint d’avoir dû jouer en journée contre la Fiorentina, expliquant que la chaleur pouvait avoir contribué aux blessures de plusieurs des Bianconeri. Interrogé sur cette déclaration, Antonio Conte s’en est amusé, taclant au passage son rival. «Je préfère ne pas parler, sinon nous devrons comparer les bilans financiers des deux clubs. Il doit se calmer, car il est du côté des puissants maintenant». Ça promet en tout cas une belle tension pour le match Inter-Juve le 6 octobre prochain.

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