Le bad boy Nicklas Bendtner balaye sa réputation et affiche ses ambitions à Wolfsburg

Par La Rédaction FM
2 min.
Wolfsbourg Nicklas Bendtner @Maxppp

Dans les colonnes de Bild, Nicklas Bendtner s'est confié sur ses premiers pas à Wolfsburg.

Il traîne sa réputation comme un boulet. Nicklas Bendtner (26 ans), présenté comme un prometteur espoir à ses débuts à Arsenal, peine à justifier cette réputation. Cet été, libre de tout contrat, le Danois, qui a «perdu un an» chez les Gunners la saison passée, a donc décidé de relever un nouveau challenge, en Bundesliga, du côté de Wolfsburg. «Je veux apporter mon expérience et me donner à 100% à chaque match. J'ai besoin de marquer des buts, sinon, nous n'atteindrons pas nos objectifs. Quand l'équipe aura grandi ensemble, nous pourrons faire des merveilles ici», a-t-il expliqué à Bild avant d'évoquer sa situation chez les Loups en ce début de saison.

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«Je n'étais pas à 100% quand je suis arrivé. Maintenant, j'ai fait deux matches avec la sélection du Danemark, ça m'a beaucoup aidé. Mais il y a encore de la marge. J'ai besoin de matches avec Wolfsburg. Me retrouver sur le banc ? C'est possible. Mais je suis venu pour jouer. Nous sommes trois à nous battre pour une place», a assuré celui qui compte pour l'heure deux apparitions en Bundesliga (39 minutes de jeu). Le Scandinave s'est donné pour mission de briller en Allemagne, pour faire taire les mauvaises langues. «Les critiques, ça ne m'intéresse pas du tout. Ce qui compte, c'est que je sois content de moi et que le VfL aussi. J'ai aujourd'hui l'opportunité de travailler pour une équipe qui peut faire de grandes choses», a-t-il lâché.

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Bad boy à la réputation sulfureuse, le natif de Copenhague veut prouver à tous qu'il possède toujours des qualités redoutables de buteur (24 buts en 60 sélections par exemple), mais aussi qu'il a changé. «Oui, j'ai mûri, parce que je ne veux plus avoir de problèmes. Parfois, c'est juste mieux de se taire. Je veux aussi que mon fils soit fier de moi. Les insultes sur le terrain ? Je ne le fais pas souvent. Je peux devenir fou lorsque mon adversaire veut tricher ou perd du temps. Le football est un sport d'hommes. Il faut aussi se comporter comme des hommes», a-t-il conclu. Wolfsburg ne demande qu'à le croire.

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