Griezmann recale un grand d'Europe

Par Maxime Barbaud
2 min.
Atlético Madrid Antoine Griezmann @Maxppp

Après le match nul entre le Real et l'Atlético, Antoine Griezmann s'est une nouvelle fois arrêté devant la presse pour évoquer son avenir. Et alors que son nom est souvent évoqué du côté du Bernabéu, le Français a tout simplement décliné l'idée d'un transfert par respect pour son club actuel.

Le feuilleton sur l'avenir d'Antoine Griezmann n'en finit plus. Interrogé presque chaque jour sur son avenir, le Français sait qu'il ne restera pas éternellement à l'Atlético Madrid. Les prétendants sont nombreux entre les cadors espagnols (Real Madrid, FC Barcelone) et anglais (Manchester United, Chelsea) mais l'attaquant est contraint chaque jour de démentir un départ ici ou là. Nouvel épisode ce samedi après le match nul dans le derby de Madrid entre les Merengues et les Colchoneros où Griezmann a égalisé en fin de rencontre.

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Alors que son nom est murmuré en coulisses au Bernabéu pour être l'une de prochaines cibles du mercato, le numéro 7 rojiblanco a répondu à ces rumeurs sitôt après la rencontre. Il est plutôt catégorique, conscient qu'il est compliqué de passer d'un voisin à l'autre. «Je ne peux pas dire non ou oui parce que sinon je serai dans la merde. On ne sait jamais ce qui peut se passer dans le football mais un saut de l'Atletico vers le Real, je ne sais pas si c'est faisable. Très, très peu de joueurs l'ont fait, donc je pense que c'est mort.»

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La piste Real Madrid écartée, il reste encore de sérieux prétendants comme a affirmé le joueur. «Eric Olhats, mon conseiller sportif, reçoit des appels et m'en parle. On est contents de recevoir des appels mais pour l'instant je suis heureux ici et de bonne humeur. Comme je dis souvent, je suis ici. Quand on parle du Real et de l'Atletico, ce n'est pas beau pour les supporters ou le club. Je continue mon travail, je profite du foot et je suis heureux sur le terrain comme on l'a vu aujourd'hui.» Cela peut être interprété comme une fin de non recevoir mais en football comme en politique, la vérité d'un jour est souvent différente de celle du lendemain. L'été risque d'être long.

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