C’est désormais officiel, Leonardo, démissionnaire de l’AC Milan, fait son grand retour au Paris Saint-Germain, six ans après l’avoir quitté.
Depuis le milieu de la saison, on se demandait comment Antero Henrique, le directeur sportif portugais du Paris Saint-Germain, en guerre larvée avec l’entraîneur, Thomas Tuchel, allait pouvoir poursuivre son aventure du côté de la capitale française. C’est dans ce contexte-là que la saison s’est terminée à Paris. Dans la foulée de la 38e journée, les rumeurs concernant un retour de Leonardo, alors à l’AC Milan, commençaient à refaire surface petit à petit.
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A la fin de l’année en Serie A, le championnat italien, qui a vu le club lombard finir hors des places qualificatives pour la prochaine Ligue des Champions, Leonardo a donné sa démission à ses dirigeants, qui l’ont bien évidemment acceptée et qui ont nommé à sa place Paolo Maldini, ex-défenseur légende de l’écurie transalpine. Dès lors, outre Antero Henrique, aucun obstacle ne semblait se dresser sur le chemin de Nasser Al-Khelaïfi pour récupérer le Brésilien, parti au cours de l’année 2013.
Leonardo va devoir gérer quelques dossiers chauds
Attendu en début de semaine à Paris pour fignoler quelques détails, le Brésilien, qui avait été suspendu par la Ligue de Football Professionnel (LFP) quelques mois pour avoir bousculé un arbitre dans les coursives du Parc des Princes, a donc apposé sa signature sur le contrat fourni par le PSG. Il fait donc officiellement son grand retour dans la formation championne de France 2019 et qui vise toujours une victoire finale en Ligue des Champions.
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Le club de la capitale s’est fendu d’un tweet pour annoncer la nouvelle avant de publier un communiqué : «le Paris Saint-Germain est heureux d’annoncer le retour au Club de Leonardo de Araujo. Le dirigeant brésilien retrouve le club de la capitale à un poste de directeur sportif, une fonction qu’il a déjà occupée de 2011 à 2013». L’enjeu s’annonce de taille pour Leonardo puisqu’il faudra trouver quelques éléments manquants au milieu de terrain et gérer surtout le dossier des gardiens suite au départ de Gianluigi Buffon. Mais nul doute que l’Auriverde, finaliste de la Coupe du Monde en 1998, jouira d’une certaine patience des supporters, qui n’ont certainement pas oublié ce que Leo a déjà fait pour le club par le passé.
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