Officiel Ligue 1

Officiel : l'OM confirme un accord historique !

Par Matthieu Margueritte
2 min.
Olympique Marseille @Maxppp

L'Olympique de Marseille tourne une page de son histoire. Le club olympien vient de confirmer qu'il reprenait le contrôle de la commercialisation des abonnements en virages.

Mise en place sous l'ère Tapie, la gestion des abonnements des virages du Vélodrome par les supporters de l'Olympique de Marseille vient d'être chamboulée. Après de nombreuses réunions avortées, la direction phocéenne et ses groupes de supporters viennent en effet d'officialiser via un communiqué publié sur le site internet des champions de France 2010 un tournant historique de l'histoire phocéenne : la reprise en main de ces abonnements en virages par le club.

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«L’Olympique de Marseille et ses associations de supporters ont trouvé ce jeudi 4 février 2016, en début de soirée, un accord sur les conditions de reprise par l’OM de la commercialisation et de la distribution des abonnements en virages. Chaque adhérent des associations de supporters bénéficiera dès la saison prochaine d’un abonnement nominatif délivré par le club. Cet accord, qui met fin à un système mis en place en 1987, répond à la nécessité de clarifier la filière de commercialisation des places en virages. Il permet aussi de renforcer les conditions de sécurité à l’intérieur du stade tout en préservant la liberté de nos supporters à apporter leur immense contribution à l’animation du Vélodrome.»

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Une décision qui ne manquera pas de faire jaser certains nostalgiques du club, mais qui était devenue inévitable pour la direction marseillaise. En effet, ce sont pas moins de 28 000 abonnements (sur 42 500) situés derrière les buts qui étaient en jeu. Plus que jamais soucieux de mettre l'OM dans une position plus favorable en vue de l'arrivée de nouveaux investisseurs, le président Labrune fait un pas de plus en ce sens. Mais ce n'est pas tout. Cette reprise en main constitue également l'assurance d'en finir avec une perte qui avait été chiffrée à 6 M€ en 2006. À l'heure où Marseille compte ses sous, cet élément ne pouvait plus être négligé.

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