PSG : vers une arrivée de Di Maria… en prêt ?

Par Khaled Karouri
2 min.
PSG Ángel Fabián Di María Hernández @Maxppp

Devant composer avec les contraintes liées au fair-play financier pour gérer son mercato, le Paris Saint-Germain doit vendre ou alléger sa masse salariale pour recruter un poids lourd de plus en la personne d’Angel Di Maria. Le club de la capitale pourrait ainsi envisager toutes les hypothèses pour mettre le grappin sur le joueur, dont celle du prêt…

Le nom d’Angel Di Maria circule depuis des semaines dans les travées du Parc des Princes. Le joueur argentin polyvalent, capable d’évoluer sur les ailes mais aussi dans une position plus reculée dans l’entrejeu comme il l’a prouvé cette saison sous le maillot du Real Madrid, a conquis Nasser Al-Khelaïfi et sa bande. Le Paris Saint-Germain lui a ainsi, comme nous vous en parlions hier, formulé une offre contractuelle avantageuse, avec un salaire de 8 M€ annuels - soit 3 de plus que ce que le gaucher perçoit actuellement à la Casa Blanca -, preuve du désir manifeste des doubles champions de France de le recruter en titre.

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Rien ne semble donc pouvoir entraver la venue de l’international albiceleste qui, pourtant, n’est toujours pas officiellement un joueur francilien. Une situation qui s’explique par les contraintes liées au fair-play financier puisque, après avoir déjà mis un peu moins de 50 M€ sur la table pour recruter David Luiz, le PSG doit vendre avant de pouvoir boucler l’arrivée de Di Maria, estimé à 60 M€. Problème, si Cavani, Lucas Moura, Marquinhos et Verratti ont la plus grosse valeur marchande, la direction parisienne n’est pas prête à vendre l’un de ses 4 éléments. Alors, comment parvenir à enrôler l’ancien joueur du Benfica tout en conservant ses cadres ? Eh bien à en croire Le Parisien, une étonnante solution pourrait être trouvée.

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Le quotidien l’assure, l’hypothèse d’une arrivée de Di Maria au Parc sous forme de prêt n’est en aucun cas à exclure. Nasser Al-Khelaïfi et Florentino Pérez entretenant d’excellentes relations, les deux hommes pourraient trouver un terrain d’entente autour d’un tel deal. Reste que, si cela permettrait effectivement de résoudre la question de l’indemnité de transfert, le problème de la masse salariale serait toujours posé. Quoi qu’il arrive, Paris devra donc dégraisser pour que sa masse salariale ne grimpe pas. De quoi relancer le débat sur l’avenir de Lavezzi (6,6 M€ par an) ou de Pastore (4,2 M€) qui, s’ils ont une valeur marchande moindre que leurs quatre partenaires cités plus haut, viendraient alléger considérablement la masse salariale en cas de départ…

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