Naples prêt à mettre le paquet pour Jackson Martinez !

Par Alexandre Pauwels
2 min.
Jackson Martinez et ses compatriotes ont la cote cet été ! @Maxppp

Avec le départ quasi-acté d’Edinson Cavani pour le PSG, Naples s’active pour lui trouver un remplaçant de qualité. Les dirigeants partenopei auraient même déjà formulé plusieurs offres, dont une, conséquente, pour Jackson Martinez.

64 millions d'euros. Voilà le chèque que récupérera Naples après le transfert d’Edinson Cavani. Une sacrée somme, que les Partenopei sont bien décidés à réinvestir sur le marché. Pour tout dire, ils ont même décidé d'anticiper, et auraient déjà adressé deux offres pour des avant-centres susceptibles de succéder à El Matador à la pointe de l’attaque. Parmi eux, se trouve celui qui sera entouré par les Mertens, Hamsik et Callejon dans le tout nouveau 4-2-3-1 mis en place par Benitez.

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Ces deux hommes sont Leandro Damião et Jackson Martinez. Comme confirmé par le directeur sportif de l'Internacional en conférence de presse, les Napolitains ont formulé une offre de 18 millions pour le premier cité. Le dirigeant a confirmé qu'il l'avait refusée, indiquant par la même qu'il ne désirait pas vendre son talent. Mais dans le même temps, d'après Sky Sport, les Azzurri auraient également formulé une offre pour l’attaquant de Porto, meilleur buteur de la dernière Liga Sagres avec 26 buts en 30 matches. Une offre bien supérieure à celle de Damião, ce qui ne fait que confirmer que le Colombien est la priorité du club napolitain.

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Car selon le média transalpin, les Partenopei auraient proposé 30 millions d'euros. Et si les dirigeants portugais ont eux aussi poliment refusé, force est de constater que la différence entre l'offre et la demande n'est pas insurmontable. Porto attend le montant de la clause libératoire du joueur, soit 40 millions, mais à en croire les journalistes italiens, l'affaire pourrait être conclue pour 35. De son côté, le joueur réfléchirait déjà à la possibilité d’un transfert en Italie. Sans doute sera-t-il appuyé dans sa réflexion par deux de ses compatriotes déjà présents à Naples, Zuñiga et Armero. Quoi qu'il en soit, les Partenopei n'ont pas perdu leur temps.

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