Le coach de Fluminense défend les entraîneurs brésiliens face à l’Europe

Fluminense a créé la surprise en atteignant les demi-finales de la Coupe du Monde des Clubs. Sous la houlette de Renato Portaluppi, le club est passé en quelques mois du bas de tableau à un rôle de protagoniste mondial, malgré une défaite 2-0 contre Chelsea. « En trois mois, on est passés d’une équipe en difficulté à un prétendant sérieux. Je ne peux qu’être fier de mes joueurs », lâche-t-il.
Le technicien, fervent défenseur des entraîneurs brésiliens, a profité de cette visibilité mondiale pour relancer le débat : « Je n’ai rien contre les coachs étrangers, mais on parle toujours d’eux, jamais des nôtres. J’espère que cette performance va changer ça. » Il a également promis que cette intensité se poursuivrait : « Nos supporters attendront la même passion au championnat. Nous allons répondre présents. »
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