PSG : Javier Pastore répond aux critiques… depuis Disneyland !
Difficile d’être une star à Paris. En balade à Disneyland avec sa fiancée et un couple d’amis, Javier Pastore n’a pas pu échapper aux journalistes et leur a finalement accordé quelques mots, pour répondre aux critiques actuelles sur son jeu.

Paris Saint-Germain-Lyon, le 2 octobre dernier. Javier Pastore prend le ballon, dépose Koné et fusille Lloris pour donner l’avantage aux siens. Un but exceptionnel qui venait alors couronner d’excellents débuts sous son nouveau maillot. Malheureusement, il a également marqué le début du coup d’arrêt de l’Argentin. Depuis cette rencontre, il a marqué certes, mais s’est montré beaucoup moins impliqué dans le jeu parisien. Hier soir, face Bordeaux, Pastore a de nouveau affiché ce visage terne, loin des sourires et des arabesques des premières semaines. Alors, pour décompresser avant de rejoindre sa sélection, il a décidé de partir s’amuser à Disneyland pour son jour de repos.
Mais les journalistes étaient sur le coup et ont pu intercepter le meneur de jeu, qui a accepté de répondre à quelques questions sur son état de forme actuel. « Il y a eu mon arrivée (au club) et tout ce qui s’est passé autour qui m’ont éprouvé. Mais je suis tranquille ; j’ai dix jours maintenant pour penser à la sélection argentine et pour me changer les idées. La vérité, c’est que dans mes clubs précédents, je n’étais pas habitué à jouer tous les trois jours », a-t-il expliqué, relayé par Le Parisien. Pourtant, l’enchaînement de rencontres est la méthode utilisée par Kombouaré pour lui faire rattraper la préparation vécue par ses coéquipiers au cours de l’été. Autre problème pointé du doigt, son séjour prolongé à l’hôtel.« Je viens de vivre un peu plus de deux mois à l’hôtel. C’est fatiguant. Mais on (NDLR : avec sa compagne Chiara) a enfin trouvé une maison et on emménagera à mon retour de sélection.»
S’il admet avoir des difficultés à enchaîner les matches, il dit se moquer des commentaires moins élogieux. « Les critiques ne m’affectent pas. Cela fait partie du jeu. Quand je joue bien, on parle de moi en bien et quand je joue mal, c’est l’inverse. Il faut savoir prendre du recul et ne pas trop y prêter attention », a-t-il lancé. Javier Pastore, du haut de ses 22 ans, découvre lui aussi le quotidien d’un club amené à compter parmi les plus grands dans le futur. Entre la grosse quantité de rencontres et la pression médiatique de son nouvel environnement, il doit digérer encore beaucoup de choses. Espérons pour le PSG que Mickey et compagnie auront servi à lui redonner le sourire.
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