Des nouvelles de… Gabriel Batistuta

Par Raphael Homassel
1 min.
Batigoal profite de la vie @Maxppp

Gabriel Batistuta a mis fin à sa carrière en 2005. Les nostalgiques du Calcio souverain en Europe n'ont toujours pas oublié ce buteur hors norme. Contrairement à ce qui peut se dire en Italie, Batigoal se porte bien.

Personne en Argentine n’a oublié Gabriel Batistuta. Avant de devenir la légende qu’il est devenu, le jeune Argentin a signé son premier contrat pro à Newell’s Old boys. Club avec lequel il participera d’ailleurs à la finale de la Copa Libertadores 1988, perdue face au Nacional. Qu’importe, il passe par River Plate et son ennemi juré de Boca Juniors, avant de finalement alerter les recruteurs de la Fiorentina. Il rejoindra donc Florence et la Toscane pour prendre la relève de Roberto Baggio.

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Il devient rapidement l’idole des supporters de la Viola. La Fiorentina fait alors figure de grand dans le Calcio, à l’époque le championnat le plus relevé du monde. L’arrivée du Portugais Rui Costa lui permet notamment de terminer meilleur buteur en 1995 avec 26 pions. Finalement lassé d’effleurer le Scudetto sans jamais pouvoir le saisir, il s’engage avec l’AS Roma. Il y fut enfin sacré champion d’Italie en 2001. Après un bref passage à l’Inter, il s’exile au Qatar où il a terminé sa carrière. Il est toujours le recordman du nombre de buts en sélection albiceleste, avec 56 buts en 78 sélections.

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L’Argentin n’a pas été épargné par les blessures, notamment en fin de carrière. Si bien que des rumeurs circulaient en Italie, affirmant que l’ancien goleador boitait à cause de son genou. « Je suis debout, ne vous en faites pas. Ceux qui m’ont rencontré à Florence le mois dernier le savent. J’ai même joué au golf avec Prandelli. Je n’ai jamais eu aucun problème aux genoux. Ce sont mes chevilles qui m’ont fait souffrir à la fin de ma carrière. Je ne joue plus au foot, certes, mais je marche, je cours, et je m’amuse en jouant au golf et au polo ». Des nouvelles qui rassureront tous les admirateurs de Batigoal.

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