Les dessous de l’arrivée ratée de Thierry Henry à Aston Villa

Par Constant Wicherek
2 min.
Thierry Henry, lors de la demi-finale de la Coupe du Monde entre la France et la Belgique, n'entraîn @Maxppp

Dans L'Equipe du jour, on apprend pourquoi et comment les dirigeants d'Aston Villa ont fait machine arrière sur le dossier Thierry Henry.

« Aston Villa peut confirmer que le manager Steve Bruce a rencontré les propriétaires majoritaires Nassef Sawiris et Wes Edens et continuera d’être le manager avec leur soutien total », ainsi mettait donc hier Aston Villa un terme à l'information selon laquelle, Thierry Henry, qui a quitté Skysports récemment, allait devenir le nouvel entraîneur des Villans. Pourtant, l'option menant à l'ancien attaquant d'Arsenal a bel et bien existée comme l'explique L'Équipe en ce jeudi matin.

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Seulement, les nouveaux propriétaire de l'écurie anglaise, Nasser Sawiris et Wes Edens, devaient, avant d'annoncer l'arrivée de l'ancien adjoint de Robert Martinez pour la sélection de Belgique, régler le cas de Steve Bruce, qui a particulièrement la cote auprès des fans du club. Dans la foulée, Bruce aurait recraché son café en lisant cette information et les supporters du club ont sans cesse rappelé que les Français n'avaient jamais brillé sous leurs couleurs.

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Les dirigeants ont fait machine arrière

C'est à cause de toutes ces explications susmentionnées que les dirigeants d'Aston villa ont fait marche arrière hier donc, en confortant Steve Bruce, qui avait raté de peu la saison passée l'accession en Premier League, et qui avait donc l'approbation - très importante - des fans. Par conséquent, il est peu probable de voir Thierry Henry approcher un banc de touche pour la reprise des saisons européennes cette année tant le marché des entraîneurs est bloqué.

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On se demande donc, à l'heure actuelle, où le champion du Monde 1998 va bien pouvoir rebondir lui qui espérait probablement obtenir directement un poste de coach dans une écurie anglaise. Mais, on le sait, les mouvements sur les bancs britanniques sont, en général, rapides et rien ne dit qu'il ne trouvera pas chaussure à son pied avant la fin de l'année civile 2018. Mais pour le moment, il va devoir attendre et prendre son mal en patience.

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