Précieux face au Bayern Munich (3-0) lors de la précédente journée, Alphonse Areola a une nouvelle fois été décisif dans les buts du Paris SG à Anderlecht (0-4, 3e journée de Ligue des Champions). Confirmation.
Le score pourrait laisser penser le contraire, mais le Paris SG ne s'est pas baladé mercredi soir face au RSC Anderlecht (0-4, 3e journée de Ligue des Champions). Les Belges ont même mené la vie dure aux hommes d'Unai Emery pendant presque toute la première période. Les Rouge-et-Bleu, pressés très haut et parfois coupés en deux, devaient alors s'en remettre à un homme : Alphonse Areola.
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Déjà très rassurant lors de la précédente journée, au Parc des Princes, contre le Bayern Munich (3-0), le portier parisien a une nouvelle fois sorti le grand jeu. Il a ainsi écœuré Henry Onyekuru (7e, 12e), Lukasz Teodorczyk (15e, 22e) ou Sofiane Hanni (63e, 80e). Et, la seule fois où il a paru battu, le jeune gardien de but de 24 ans a vu la barre transversale lui venir en aide sur une reprise à bout portant d'Onyekuru (80e). De quoi préserver ses cages inviolées pour la troisième fois de suite en C1, et ce, malgré 16 tirs cadrés subis !
16 tirs cadrés subis, 0 but encaissé !
«On se sent très bien, on est tombé sur une bonne équipe d'Anderlecht, qui nous a posé des problèmes, surtout en première mi-temps. J'ai eu beaucoup de boulot. C'est toujours compliqué en Ligue des Champions, quelle que soit l'équipe en face. Ne pas prendre de but ? C'est une satisfaction. On est content, il faut qu'on essaie de continuer comme ça. On sait que ce sera un parcours très difficile », a apprécié l'intéressé au micro de l'UEFA.
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16 - @AreolaOfficiel a arrêté les 16 tirs cadrés qu'il a subi en Ligue des Champions cette saison. Infranchissable. @PSG_inside pic.twitter.com/WosPE486TX
— OptaJean (@OptaJean) 19 octobre 2017
Installé au poste de n° 1 depuis le début de la saison aux dépens de l'international allemand Kevin Trapp, le titi parisien, formé au club, savoure et ne cache pas son bonheur. «Jouer dans cette équipe, ce n'est que du plaisir, surtout pour moi qui sort du centre de formation, on aboutit à quelque chose. Maintenant, rien n'est acquis, il faut continuer à travailler», a-t-il conclu. Pourvu que ça dure pour Alphonse Areola, sous contrat jusqu'en juin 2019, et le PSG.
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