L’équipe-type des WAGs de la Ligue 1 !

Par Fabien Borne
2 min.
Ezequiel Iván Lavezzi @Maxppp

L'année 2012 touchant à sa fin, l'heure des bilans a sonné ! Et en attendant de découvrir votre onze de gala, Foot Mercato vous présente son équipe-type de l'année des WAGs de la Ligue 1. Frissons garantis.

À l'origine utilisé en Grande-Bretagne pour décrire les compagnes des footballeurs de l'équipe nationale anglaise, le terme WAG (« Wives and girlfriends », comprenez « femmes et petites copines ») désigne plus communément toutes les compagnes de sportifs de haut niveau intéressant de près ou de loin la presse people. Mais derrière le cliché de la ravissante compagne se contentant de dépenser l'argent de son partenaire lors d'interminables après-midis shopping se cache une autre réalité. Celle de femmes « modernes » en quête d'indépendance et de reconnaissance professionnelle. Et qui de mieux placée en France que Clio Sabo pour nous en parler ?

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Mariée depuis l'été dernier à Jean-Philippe Sabo, sans club depuis la fin de son contrat avec l'OM, cette mannequin de formation de 27 ans présente depuis octobre dernier la quatrième partie du Talk Show de nos partenaires du Phocéen.fr (émission sur l'OM diffusée également sur LCM). Et avant d'atteindre la notoriété et la crédibilité d'une Sara Carbonero en Espagne (compagne d'Iker Casillas et journaliste, entre autres, pour la chaîne espagnole Telecinco), Clio Sabo a conscience que le chemin sera long et sinueux avant de gagner sa place dans ce monde impitoyable du journalisme sportif : « En plus du cliché de femme de footballeur, j'ai celui de mannequin, donc je dois me battre dix fois plus que les autres. Maintenant, c'est aussi vrai que si je n'avais pas été dans le milieu du football depuis des années, je ne ferai certainement pas ça aujourd'hui. Pour l'instant, je suis présentatrice, mais mon objectif à terme est d'être reconnue comme une journaliste sportive à part entière », nous a ainsi confié l'ex-compagne de Bolo Zenden.

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Si outre-Manche, le business de la WAG est énorme et occupe une place importante dans les tabloïds anglais, la France échappe pour le moment au phénomène, pour le plus grand bonheur des femmes de footballeurs concernées : « La première fois que je suis allée en Angleterre (lorsque son ancien petit ami avait signé à Chelsea, Ndlr), des photographes nous attendaient à l'aéroport, se souvient Clio Sabo. Je me suis demandé où j'avais atterri. Là-bas, c'est un vrai business, les femmes de footballeurs gagnent énormément d'argent grâce aux photos qu'elles vendent chaque semaine aux journaux. C'est une autre culture que chez nous et c'est aussi ce qui peut expliquer pourquoi en France les femmes de footballeurs ont ce besoin de travailler ».

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Qu'elles vivent de la réputation et du porte-feuille de leur mari ou qu'elles mènent au contraire leur propre carrière professionnelle, les WAGs font partie intégrante de la vie de nos amis footballeurs, ayant notamment une influence non négligeable dans les choix de carrière de ces derniers. Et comme James Brown l'a si bien chanté à la fin des années 60 : « This is a man's world, this is a man's world, but it wouldn't be nothing, nothing without a woman or a girl ».

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