Rafa Benitez ouvre la porte à un avenir en L1

Par Matthieu Margueritte
2 min.
SSC Naples @Maxppp

Entraîneur de Naples depuis la saison passée, Rafael Benitez ne serait pas contre une expérience en Ligue 1.

Son nom n'est peut-être pas le plus sexy quand on parle des meilleurs entraîneurs de la planète football. Pourtant, lorsque l'on jette un coup d’œil sur son palmarès, peu de personnes peuvent se vanter d'avoir remporté une Ligue des Champions, une Europa League, un Mondial des clubs ou encore deux titres de champion d'Espagne. Coach besogneux, Rafael Benitez est pourtant bien un technicien de la gagne. Un nom qui sévit aujourd'hui du côté de Naples, mais qui a souvent été cité en France à l'heure où le PSG cherchait le successeur de Carlo Ancelotti. Connu en L1, Benitez connait également très bien notre championnat.

La suite après cette publicité

«Je m'y suis beaucoup intéressé durant les deux ans où j'étais sans club, pour parfaire ma connaissance de tous les footballs. J'avais noté, par exemple, que la L1 était le championnat où l'on marquait le plus de la tête. Je n'ai pas eu le temps de déterminer pourquoi, mais j'avais noté ça. Je crois que la L1 regorge de bons joueurs, très rapides, bien formés sur le plan technique. Mais la maîtrise tactique y est moins développée qu'en Serie A et, physiquement, le tempo n'y est pas aussi élevé qu'en Premier League», a-t-il déclaré dans les colonnes de France Football.

À lire Naples va dénicher le successeur de Victor Osimhen en Ligue 1

Alors, forcément, à l'heure où des rumeurs sur un possible départ de Laurent Blanc refont surface ces derniers jours, Benitez peut-il envisager de voir le train parisien s'arrêter à nouveau devant lui ? «Aujourd'hui je suis à Naples, je dois me concentrer là-dessus. Mais on ne peut jamais prévoir ce qu'il va se passer. Vos confrères anglais et espagnols, eux, me posent des questions sur d'éventuels clubs de leurs pays. Maintenant, j'ai entraîné en Espagne, en Angleterre, en Italie. je n'aurais aucun problème à découvrir un nouveau championnat s'il y avait la bonne offre, au bon moment, avec la bonne équipe.» À bon entendeur.

Plus d'infos sur...

La suite après cette publicité

Fil info

La suite après cette publicité