MHSC : Michel Der Zakarian sort du silence dans l’affaire Sakho

Par Maxime Barbaud
2 min.
Mamadou Sakho à l'entrainement avec Montpellier @Maxppp

Michel Der Zakarian s’est exprimé pour la première fois depuis les révélations de son altercation dans la semaine avec Mamadou Sakho.

L’agitation a rompu l’habituelle quiétude qui règne à Montpellier. La semaine a été particulièrement animée. Il y a d’abord eu la sanction de la commission de discipline suite à la rencontre Montpellier-Clermont définitivement arrêtés après un jet de pétard sur Mory Diaw. Le match sera finalement à rejouer dans un stade de la Mosson à huis clos, le club local écopant également d’un retrait de deux points au classement, dont un avec sursis. Une pénalité qui vient d’ajouter à l’affaire Mamadou Sakho.

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Le défenseur a eu une altercation avec son entraineur Michel Der Zakarian à la fin d’un entrainement. Le technicien aurait même fini par terre, obligeant les autres joueurs et membres du staff qui assistaient à la scène d’intervenir. Suite à cet épisode, l’ancien Parisien aurait été mis à pied, ce que le MHSC n’a pas encore confirmé. Der Zakarian non plus, alors qu’il était présent pour la première fois face à la presse après les derniers événements. Il n’avait pas la mine des bons jours.

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Der Zakarian : «ça va mieux aujourd’hui»

«Je me sens bien. Oui je me sens bien, ça va mieux aujourd’hui. Mais je ne parlerai pas de ça (de l’altercation, ndlr). Par contre si vous voulez des renseignements, vous appelez Jérome Rothen et (Hugo) Guillemet (le journaliste de L’Equipe qui a révélé l’affaire). Ils vous diront les choses», cingle l’entraîneur à deux jours de la réception du TFC. «Je ne parlerai pas de ça, c’est fini. On parle de Toulouse.» Les médias présents ont alors utilisé des questions détournées pour obtenir un peu plus d’informations.

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Il assure par exemple que son groupe n’est pas du tout affecté par ce qu’il s’est passé. «Pas du tout. Les joueurs zappent vite, ils passent vite à autre chose.» Même pas dans le vestiaire ? «Il ne s’est rien passé dans le vestiaire, il y a eu un petit accrochage, c’est tout.» Il a également refusé d’évoquer le cas Mamadou Sakho, même de donner son nom, «je ne parle pas de ça», et affirme qu’il s’agit d’un problème au final mineur. «On en rajoute beaucoup, on sort des trucs qui n’existent pas.» La priorité est au terrain.

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