Amical : un Messi record et de nouvelles célébrations provocantes, l’Argentine a fêté ses héros face au Panama

L’Argentine a vécu une belle soirée cette nuit au Monumental. Trois mois après leur succès en Coupe du Monde, les joueurs de l’Albiceleste retrouvaient leur public à l’occasion d’un match amical contre le Panama. Un adversaire plutôt faible, face à qui ils se sont imposés 2-0 sans briller, mais avec notamment au 800e but de Lionel Messi en carrière. La Pulga a inscrit un joli coup-franc en toute fin de match (89e), confirmant l’ouverture du score de Thiago Almada (78e).

De quoi rendre la fête encore plus folle. Les Champions du monde ont surtout profité de ce match pour célébrer de nouveau devant leur public leur succès du 18 décembre dernier. 83 000 personnes étaient présentes au stade alors qu’il y a eu jusqu’à 1,5 million de demandes de billets pour assister au match. Une folie pure qui rappelle les célébrations complètement hallucinantes des Argentins vues lors du passage des joueurs en bus pour présenter le trophée dans les rues de Buenos Aires.

Une minute de silence pour le Brésil, Dibu Martinez refait des siennes

Lionel Messi a forcément pris la parole une fois le match terminé, pendant que de nouvelles festivités avaient lieu sur la pelouse. «Profitons de ça, de cette troisième étoile. C’est très difficile de gagner une Coupe du Monde» assure le Parisien, qui a eu un petit mot après les nombreux échecs du passé en affirmant qu’il ne faut «ne pas oublier tous les joueurs avec qui nous avons tenté de soulever cette Coupe sans y arriver». On a alors assisté à des scènes déjà vues il y a quelques semaines.

L’avant-match a donné lieu à une belle fête longue de plusieurs heures entre images du Mondial, concert, feu d’artifice, et ça s’est prolongé après le coup de sifflet final. Les joueurs ont communié avec leur public, se donnant de nouvelles provocations. Lautaro Martinez a par exemple demandé une minute de silence pour le Brésil, Emiliano Martinez a de nouveau réalisé sa célébration obscène avec la Coupe du Monde, imité par ses coéquipiers hilares… On ne se refait pas.