Didier Deschamps et le casse-tête de la concurrence offensive

Par Maxime Barbaud
1 min.
Ousmane Dembélé @Maxppp

C’est un luxe que beaucoup de sélectionneurs aimeraient avoir, mais cela peut vite être un casse-tête également. Les Bleus ont un tel réservoir offensif que les places sont très cher et à tous les postes, sur les ailes comme dans l’axe. Didier Deschamps est d’ailleurs en pleine réflexion pour demain face aux Pays-Bas (coup d’envoi à 20h45), dans le cadre des éliminatoires de l’Euro. En pointe, il hésite entre Olivier Giroud, Randal Kolo Muani et Marcus Thuram, rien que ça. «J’ai la chance d’avoir 3 attaquants axiaux avec des profils différents. Ça dépendra de l’attitude en face de nous», répond-il à L’Équipe.

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Même chose en conférence de presse quelques instants plus tard lorsque la presse demande au sélectionneur où en est la concurrence entre Kingsley Coman et Ousmane Dembélé. «C’est un peu de tout (la forme du moment et l’intégration dans le collectif, ndlr). Ils peuvent jouer ensemble également parce que Kingsley a plus de polyvalence qu’Ousmane, qui joue plus à droite. Ils peuvent être en concurrence aussi. S’il y en a un qui joue, l’autre rentre. Pour l’adversaire (rire), il y a du danger à craindre. Ça ne veut pas dire non plus qu’il y a une hiérarchie. Je considère qu’il y a celui qui démarre et celui qui finit.» De vrais problèmes de riches, tant mieux pour les Bleus.

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