OM-LOSC : Jocelyn Gourvennec n'a pas du tout aimé l'arbitrage !

Par Constant Wicherek
1 min.
Benjamin André a été exclu lors de cet OM-LOSC @Maxppp

Le LOSC a rapidement trouvé la faille, sur corner, contre l'Olympique de Marseille ce dimanche. Mais le club nordiste s'est surtout retrouvé à 10 à la demi-heure de jeu pour une exclusion de Benjamin André. Le coach des Dogues n'a pas franchement apprécié l'arbitrage.

Depuis de nombreuses années, les rencontres entre l'Olympique de Marseille et le LOSC constituent des matches phares dans notre chère Ligue 1. Encore plus cette saison puisque les Dogues sont champions de France en titre et que l'OM s'est trouvé un nouvel allant depuis l'arrivée sur le banc de touche de l'Argentin, Jorge Sampaoli, qui a des résultats sympathiques cette saison.

La suite après cette publicité

Donc autant dire que la confrontation de ce dimanche soir était scrutée. Rapidement, les Nordistes ont trouvé la faille grâce à leur défenseur Sven Botman, sur un corner parfaitement botté. On pensait que tout allait rouler pour les hommes de Jocelyn Gourvennec, mais finalement, patatras. À la 31e minute, Benjamin André était averti par l'arbitre pour une contestation.

À lire OM : 700 supporters seulement attendus à Bergame

« Franchement, ce n'est pas dans l'esprit du jeu de mettre un rouge au bout de 32 minutes »

Moins d'une minute plus tard, suite à une récupération haute de Dimitri Payet, l'ancien Ajaccien faisait une faute plus que grossière sur Mattéo Guendouzi au-devant de la surface. Résultat des courses, deuxième jaune et carton rouge. En conférence de presse d'après-match, Jocelyn Gourvennec paraissait un brin énervé et trouvait surtout l'arbitrage sévère.

La suite après cette publicité

« L'exclusion est extrêmement sévère, ça change la donne. Je ne veux pas rentrer là-dedans, je ne suis pas un adepte de critiquer les arbitres, je la trouve sévère, ça laisse rêveur... Peut-être, franchement, ce n'est pas dans l'esprit du jeu de mettre un rouge au bout de 32 minutes. Cela impacte beaucoup le match. À onze contre onze, on contrôlait le match. Prendre deux cartons sur des situations comme ça, je trouve ça très sévère », lâchait-il avec la mine des mauvais jours. Ce qui est sûr, c'est qu'il était loin d'avoir décoléré.

La suite après cette publicité

Fil info

La suite après cette publicité