Ligue 1

Dimitri Payet lance ses vérités sur la rivalité PSG-OM

Le joueur de l'Olympique de Marseille s'est exprimé sur la rivalité entre son club et le Paris Saint-Germain, et est notamment revenu ses les différents chambrages qui ont eu lieu récemment.

Par Max Franco Sanchez
2 min.
Dimitri Payet buteur et passeur lors du match amical de l'OM face au FC Pinzgau @Maxppp
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Dimanche soir, dans ce contexte très particulier qui n'est plus à présenter, le Paris Saint-Germain accueillera l'Olympique de Marseille. Un duel entre deux frères ennemis du football français, et autour duquel on retrouve un certain folklore, et des moqueries à tout va. Il est devenu monnaie courante que, sur les réseaux notamment, joueurs de l'une et l'autre équipe charrient le rival.

Dimitri Payet avait notamment posté un gif se moquant du club de la capitale et montrant que l'OM est le seul club à pouvoir afficher une étoile sur son maillot. Il est notamment revenu sur cet épisode dans un entretien accordé à La Provence. « Il n'y a pas d'histoire, c'est un tweet avec un GIF qui m'a beaucoup fait rire et je l'ai posté à mon tour. On se plaignait avant de la langue de bois des joueurs, mais quand on charrie, ça fait le buzz. Ça m'a bien fait rire, il n'y a rien de plus », a expliqué le Réunionnais.

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« Entre ennemis, on se charrie »

« Non, pas du tout, je ne regrette pas. C'est de bonne guerre. Je me souviens d'un match en Ligue Europa, où on avait match nul contre Limassol, et le site officiel du PSG avait fait un tweet... Entre ennemis, on se charrie. Et ça ne me met aucune pression », a ajouté le joueur de l'Olympique de Marseille avant ce match pour lequel son "ennemi" va être privé de nombreuses vedettes.

Le numéro 10 de l'OM a d'ailleurs regretté qu'un tel match se joue avec peu de public (5000 places maximum) : « ce n'est pas du tout excitant. On fait ce métier pour jouer dans des stades pleins. Là, ça devient même chiant de regarder les matches à la télé : il n'y a pas d'ambiance, un faux rythme. C'est le contexte, c'est comme ça. Il faut en faire abstraction et rester concentré sur le terrain ». Plus qu'à attendre le coup d'envoi de la rencontre !

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