Sabella, nouvelle victime d’Internet

Cela devient automatique. A chaque fois qu’une personnalité du football (mais pas que !) fait le buzz par une expression du visage ou une posture improbable, les « photoshoppeurs » en herbe s’emparent du problème pour détourner l’image. La plupart du temps, le résultat est hilarant, comme en témoigne leur dernière œuvre, avec pour victime Alejandro Sabella. Le sélectionneur argentin a manqué de se laisser tomber en arrière suite à une frappe sur la barre de Gonzalo Higuain. On le retrouve aujourd’hui aux côtés de Michael Jackson, de Neo dans Matrix, frappé par Zidane ou encore sauvé par Tim Howard et le fameux « Henrying » de Titi Henry, autre succès des récents détournements.

Un père sans pitié nomme son fils en hommage aux Bleus

Un enfant brésilien de 7 ans a sans doute le prénom le plus fou de la planète. La faute à son père, fan de la culture française et de ses Bleus, qui n’a pas hésité à l’appeler « Zinedine Yazid Zidane Thierry Henry Barthez Eric Felipe Silva Santos », comme le rapporte cette semaine Globo. Cela a tout pour être une belle blague, et pourtant... Cette drôle d’idée serait en fait un hommage aux anciens champions du monde 98, mais aussi au « King » Eric Cantona, et à Luiz Felipe Scolari. Appelé tout simplement « Zidane » par ses proches, le petit garçon avoue lui ne pas être le plus grand fan de son prénom, lui qui aurait préféré s’appeler… Luiz Gustavo. Pourquoi pas.

Luis Suarez, alcool et sextoy

En mordant Giorgio Chiellini lors d’Uruguay-Italie, Luis Suarez a provoqué un buzz sans précédent, d’autant plus après l’annonce de sa suspension de 4 mois. Mais si son geste a choqué la FIFA, il a surtout inspiré de nombreux créateurs. La semaine dernière, on découvrait le décapsuleur à l’effigie du joueur de Liverpool, qui comme vous pouvez l’imaginer, permet d’ouvrir les bouteilles avec ses dents. Plus hard, des Suédois ont inventé un sextoy qui ravira tous les fans de tough love. Deux pinces en forme de Suarez, reliées par une chaîne, créées pour s’accrocher aux tétons… Mais attention à la commission de discipline, tout de même.