Après Gonalons, et si Naples se penchait sur Clément Grenier ?

Par Rodolphe Koller
1 min.
Olympique Lyonnais Clément Grenier @Maxppp

Alors que Naples semblait avoir jeté son dévolu sur Maxime Gonalons ces derniers temps, voilà qu'un autre lyonnais, Clément Grenier, pourrait intéresser la formation italienne.

L'Olympique Lyonnais et Naples entretiennent des liens réguliers depuis maintenant plusieurs mois. Tout a commencé lorsque l'écurie napolitaine s'intéresse à Maxime Gonalons, et se retrouve même à deux doigts d'enrôler le milieu de terrain de l'OL au cours de l'hiver dernier. Sans un énième retournement de situation et un non ferme de Rémi Garde, et par voie de conséquence de Jean-Michel Aulas, le Gone de toujours évoluerait aujourd'hui en Serie A sous les ordres de Rafael Benitez.

La suite après cette publicité

Pourtant, les Partenopei n'ont pas abandonné le dessein de faire venir Gonalons. Et à force de s'intéresser à a formation rhodanienne, les Napolitains auraient fait émergé d'autres profils susceptibles de les intéresser avant le mercato d'été. Le nom de Samuel Umtiti est ressorti du lot, tout comme celui de Clément Grenier. Si ce dernier a récemment été déclaré intransférable par le board lyonnais, cela n'empêche pas les spéculations de revenir à la charge autour de son cas personnel.

À lire Le PSG et le Qatar sont la risée de l’Europe, le successeur de Kylian Mbappé a déjà été trouvé

Jusqu'à son agent, Frédéric Guerra, interrogé par le Corriere dello Sport : «Grenier ? Il regarde toujours jouer Naples et m'a dit que ce serait la ville idéale pour lui. Tactiquement, c'est un meneur de jeu, il a un peu de Platini et de Maradona. Il est également proche de Pirlo, car il peut jouer sur l'aile droite ou reculé.» Le représentant du jeune lyonnais précise toutefois que le directeur sportif de Naples, Riccardo Bigon, n'avait pas abordé son cas, avant de conclure : «Je vais l'appeler aujourd'hui pour savoir s'il sera lundi à Naples, afin de prendre rendez-vous». De quoi relancer de plus belles les rumeurs.

La suite après cette publicité

Fil info

La suite après cette publicité