En conflit ouvert avec la Dea, l'Argentin espère quitter Bergame cet hiver, libre de tout contrat. Mais l'Atalanta ne l'entend pas de cette oreille.
Le cas Papu Gomez (32 ans) commence sérieusement à agacer Gian Piero Gasperini. En froid avec son milieu offensif, le coach italien a perdu patience. En effet, alors que son Atalanta venait de cartonner l’AS Roma hier soir (4-1), le Transalpin en a eu marre de voir les journalistes lui rabâcher que Papu Gomez n’était pas présent hier soir.
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« Quand un entraîneur se fâche, il se passe des choses. Mais quand un président se fâche, c’est plus difficile », a-t-il déclaré, sous-entendant que c’était donc son supérieur qui a décidé d’exclure l’Argentin du groupe. « Je ne réponds plus à ces questions, c'est quelque chose que va résoudre le club. Après une victoire comme celle-ci, vous relancez cette histoire. Vous êtes un peu lourds. Les joueurs méritent qu'on parle de leur performance d’aujourd'hui. »
L'Atalanta ne veut pas lâcher gratuitement Papu Gomez
Mais si la presse italienne n’a pas manqué de souligner la belle victoire de la Dea, elle raffole également de cette saga. La Gazzetta dello Sport en a d’ailleurs remis une couche ce matin. Pour rappel, nous vous avions déjà relayé le fait que le Paris Saint-Germain, l’Inter Milan, l’AS Roma et l’AC Milan étaient sur les rangs pour accueillir l’international albiceleste (5 sélections, 1 but).
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Eh bien le journal au papier rose réaffirme que ces quatre équipes sont bel et bien intéressées par Papu Gomez. Concernant le PSG, il n’y a pas qu’Angel Di Maria qui apprécierait le profil de son compatriote puisque le quotidien italien ajoute que Leonardo aime également ce profil. Cependant, alors que le joueur souhaite être libéré de son contrat (qui court jusqu’en 2022), l’Atalanta est prêt à le laisser filer, mais uniquement en échange d’un chèque de 10 M€.
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