Le torchon brûle entre Saint-Etienne et Zuriko Davitashvili !
Reléguée en Ligue 2, l’AS Saint-Etienne n’a aucune intention de voir partir ses meilleurs joueurs. Une fermeté qui commence à agacer Zuriko Davitashvili selon nos dernières informations.

De retour en Ligue 1 la saison dernière avec de grosses ambitions et un nouvel investisseur, l’ASSE a finalement vécu une année plus que chaotique. Relégués en fin d’exercice, les Verts vont désormais devoir relancer un nouveau cycle pour tenter de retrouver, au plus vite, l’élite du football français. Pour ce faire, et comme nous vous le révélions dernièrement, le club stéphanois a pris une première grande décision : conserver ses meilleurs éléments.
Arrivé dans le Forez à l’été 2024, Zuriko Davitashvili (24 ans) fait ainsi partie de ces cadres intransférables. Il faut dire que son talent balle au pied, sa capacité à faire la différence dans les petits espaces et à débloquer des matches ont régalé les supporters de l’ASSE mais aussi des suiveurs de la Ligue 1. Avec 8 buts et 7 passes décisives, le Géorgien, sous contrat jusqu’en juin 2028 (+ une année en option) s’est mis en évidence. De quoi attiser les convoitises lors de ce mercato estival.
Zuriko Davitashvili s’agace !
Selon nos dernières informations, l’ancien joueur des Girondins de Bordeaux se retrouve, à ce titre, dans le viseur du Stade Rennais, de Strasbourg, du Séville FC, du Borussia Mönchengladbach ou encore d’Everton. Problème ? L’ASSE ne veut rien savoir et ne compte pas se séparer du droitier d’1m75, peu importe le club et le prix proposé. Une situation qui ne manque pas d’agacer le joueur. Frustré et déterminé à l’idée de s’offrir un nouveau challenge ambitieux, le grand ami de Khvicha Kvaratskhelia - qui dispose du même agent et qui pourrait donc utiliser le même procédé que son compatriote évoluant au PSG pour accélérer son départ - n’a d’ailleurs pas voulu entrer en jeu contre le Paris FC et Cagliari lors de cette présaison.
Un positionnement clair afin de forcer son départ, lui qui souhaite aujourd’hui rejoindre un club de première division participant - de préférence - à une Coupe d’Europe. Une chose est sûre : s’il faudra encore patienter avant d’en savoir plus sur l’avenir du numéro 22 des Verts, le ton lui risque de se durcir entre le club stéphanois et l’international géorgien (46 sélections, 6 buts), plus que jamais décidé à l’idée de quitter le Forez.
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