Edinson Cavani endosse la responsabilité du mauvais résultat du PSG

Par Aurélien Léger-Moëc
2 min.
PSG Edinson Roberto Cavani Gómez @Maxppp

Edinson Cavani ne s'est pas caché au moment d'évoquer sa prestation et a admis que son inefficacité avait coûté la victoire au PSG.

42 secondes, un but de la tête, parfaitement placée, au terme d’une belle action collective. Tout laissait penser que le PSG était parti pour une grande prestation offensive face à Arsenal. On n’avait pas tort lorsqu’on regarde le nombre d’occasions nettes obtenues face à Arsenal mardi soir (1-1). Mais Paris a vendangé. Un mot qu’Edinson Cavani a peut-être appris en français depuis son arrivée et les nombreuses critiques sur ce délicat sujet. L’Uruguayen aurait pu mettre 3 ou 4 buts de plus s’il avait su trouver le cadre ou effectuer les bons choix face à Ospina.

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Il ne s’est en tout cas pas défilé après la rencontre en s’arrêtant devant les caméras, en zone mixte. « J’ai dit que la sensation est négative. Nous avons fait un bon match. Il y a beaucoup de choses positives mais on a manqué d’efficacité à la fin et on l’a payé très cher. Dans cette compétition, tu as besoin de beaucoup de points. Ce n’est que le premier match, il faut continuer à jouer », a glissé, en français et très calmement, l’attaquant du PSG, avant d’endosser la responsabilité des deux points perdus, en raison de son inefficacité.

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Que lui a-t-il manqué pour concrétiser les occasions ? « Concrétiser, c’est ça… Je pense qu’on a fait un gros match. Je prends la responsabilité parce que c’est moi qui ai eu les occasions les plus claires. Mais parfois le ballon rentre à l’intérieur et parfois il n’y a pas but. Il faut continuer, car ce soir nous avons montré beaucoup de choses positives sur le terrain ». L’Uruguayen ne se cache pas et accepte les critiques qui découlent de son match. Très attendu pour la première sortie en Ligue des Champions, il a présenté les mêmes carences face au but. Reste à savoir si, à l’image de l’équipe, tout cela n’est dû qu’au début de saison poussif du PSG version Emery.

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