PSG : Aurier lâche ses vérités sur son année 2016 et l'affaire Periscope

Par Constant Wicherek
2 min.
PSG Serge Aurier @Maxppp

Cette année n'a pas été de tout repos pour Serge Aurier, entre l'affaire Périscope et son placement en garde à vue, le latéral droit a eu une année compliquée. Ce dimanche matin, il est revenu sur celle-ci.

Mardi dernier, on a retrouvé le Serge Aurier que l'on connaît. Contre la France au Stade Félix Bollaert de Lens, avec sa sélection de la Côte d'Ivoire (0-0), le latéral droit a été fidèle à lui-même : puissant, offensif, important pour les Éléphants. Pourtant, son année n'a pas réellement été simple et c'était en très grande partie de sa faute. Petit retour en arrière lorsque l'ancien Toulousain était la terreur des réseaux sociaux et faisait trembler les dirigeants parisiens.

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Le 14 février dernier, Serge Aurier ne fêtait pas la Saint-Valentin. À la place, il était avec un ami à lui en train de faire une session sur Périscope (une plateforme de vidéo en direct) où il insultait quelques uns de ses coéquipiers et surtout son entraîneur Laurent Blanc. Mis à pied quelques jours puis envoyé avec la réserve, le joueur formé à Lens avait ensuite été placé en garde à vue après une altercation avec des policiers à Paris à la suite d'une sortie en boîte de nuit.

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« j’assume tout »

Pourtant, Serge Aurier est toujours un joueur du Paris Saint-Germain, mieux il devance assez largement Thomas Meunier dans la hiérarchie des latéraux droits à Paris. Interrogé par Téléfoot, il est revenu sur son année compliquée dans la capitale française. « Déjà petit, je faisais beaucoup de bêtises. J’assume tout, j’apprends de mes erreurs, cette année a été dure parce qu’on a oublié le sportif et on a pensé à la personne », a commencé à expliquer Serge Aurier.

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Mais il ne s'est pas arrêté là avant d'expliquer qu'il doit son salut à son président Nasser Al-Khelaifi, de qui il est particulièrement proche. « J’ai fait une bêtise je me suis excuse, on passe à autre chose. Sur le plan personnel, je suis content. Periscope ? Si je le refais, je le refais avec mes amis sans rigoler, mais sans les mêmes mots. C’est quelqu’un (Nasser Al-Khelaifi) qui m’aime beaucoup. Après tout ce que j’ai fait, si c’est un président normal, il prend des décisions graves, si je suis encore là, c’est grâce à lui », a ainsi poursuivi le latéral. Quoi qu'il en soit, Serge Aurier semble avoir pris conscience des choses, il doit surtout une fière chandelle à son président.

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