Ballon d’Or 2025 : le père de Lamine Yamal s’est salement moqué d’Ousmane Dembélé

Après avoir affiché publiquement son mécontentement en voyant Ousmane Dembélé remporter le Ballon d’Or, le père de la star du FC Barcelone ne s’est pas arrêté là. Explications.

Par Matthieu Margueritte
2 min.
Lamine Yamal et son père @Maxppp

À l’heure où la France célèbre le sixième Tricolore couronné d’un Ballon d’Or, l’Espagne bougonne. Enfin, surtout le clan Lamine Yamal. Plusieurs heures après être rentré en Catalogne, le prodige du FC Barcelone est rapidement sorti du silence sur ses réseaux sociaux pour donner de ses nouvelles et féliciter Ousmane Dembélé. « Le plan de Dieu est parfait, il faut grimper pour atteindre le sommet. Je suis heureux pour les deux trophées Kopa et je félicite Ousmane Dembélé pour cette récompense et cette excellente saison. »

La suite après cette publicité

Mais décidément, le clan de l’Espagnol a du mal à savoir perdre. Il y a eu le comportement pas très fair-play de la star du FC Barcelone envers Cristiano Ronaldo et les Portugais après la défaite de l’Espagne en finale de la Ligue des Nations en juin dernier. Et avant-hier, c’est le père du numéro 10 blaugrana, Mounir Nasraoui, qui s’est distingué. À l’issue de la cérémonie, ce dernier avait pris la parole pour afficher son mécontentement.

La suite après cette publicité

Une défaite qui ne passe pas

« Je pense que c’est le plus grand préjudice, je ne dirai pas vol, mais préjudice moral causé à un être humain, car je crois que Lamine Yamal est de loin le meilleur joueur du monde, et de loin qui fait beaucoup de différences. Non pas parce que c’est mon fils, mais parce que c’est le meilleur joueur du monde. Je pense qu’il n’y a pas de rival, Lamine Yamal est Lamine Yamal. Il faut dire qu’il s’est passé quelque chose de très étrange ici. » Une sortie médiatique qui ne lui a visiblement pas suffi.

Ce mercredi matin, L’Équipe nous apprend que Mounir Nasraoui ne s’est pas arrêté là. Le père de Lamine Yamal ne cachait pas son énervement au moment où la délégation du Barça repartait du théâtre du Châtelet en « moquant ostensiblement Dembélé sur son niveau de jeu affiché ces derniers mois au regard de celui de son fils ». C’est ce qui s’appelle un (très) mauvais perdant.

La suite après cette publicité
La suite après cette publicité
Copié dans le presse-papier