L’aventure de Jhon Duran en Arabie saoudite tourne mal
Malgré ses buts, Jhon Duran n’est pas satisfait de sa vie avec Al-Nassr, et son club non plus. Une porte de sortie est déjà envisagée.

On avait laissé Jhon Duran en février dernier après ses très bons débuts du côté d’Al-Nassr. A peine débarqué en Arabie saoudite que le nouveau coéquipier de Cristiano Ronaldo enquillait 4 buts durant ses 2 premiers matchs. La suite fut à peu près du même acabit puisque depuis sa signature, le voilà à 12 réalisations en 18 matchs toutes compétitions confondues. Et un carton rouge qui a fait un peu de bruit, notamment pour la réaction de CR7.
Les mois passent et à la vue des statistiques de l’attaquant colombien, on pouvait se dire qu’il avait fait le bon choix en janvier dernier de signer en faveur du club de Ryiad, et non pas au Paris Saint-Germain. Al-Nassr avait réussi à arracher sa signature d’Aston Villa contre 75 M€, soit le 2e plus gros transfert de la Saudi Pro League. Sauf qu’entre-temps, le club français est devenu champion d’Europe, rappelons-le, et le joueur commence à avoir le mal du pays.
Mal-être et mauvaise hygiène de vie
D’après les informations dévoilées ce jour sur Arriyadiyah, des doutes planent sur le cas Duran. Malgré son statut de titulaire et ses performances, il rencontre des difficultés dans son quotidien qui affecteraient sa santé mentale. Selon nos indiscrétions, c’est même le club qui réfléchirait à s’en séparer, en raison d’une hygiène de vie loin d’être irréprochable. Le joueur de 21 ans aurait notamment une certaine accoutumance aux fast-foods loin d’être idéal pour un sportif professionnel.
Cela agace forcément la direction. Problème, il sera difficile de le revendre après avoir coûté une petite fortune il y a six mois seulement. Sous contrat jusqu’en 2030, le Colombien a pu profiter de la trêve internationale pour s’aérer l’esprit, même s’il n’était pas sur la feuille de match pour la rencontre face à l’Argentine. Selon le média saoudien, des clubs seraient prêts à accueillir le buteur mais uniquement sous la forme d’un prêt. Ça serait toujours ça de pris.
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