Les larmes d'Adil Rami après le maintien de Boavista

Par Mathieu Rault
1 min.
Paulinho du Sporting CP au duel avec Adil Rami du Boavista FC. @Maxppp

Champion du monde 2018, Adil Rami cherchait un second souffle. Atterri à Porto l'été dernier, le défenseur central de 35 ans s'est engagé pour deux saisons en faveur du Boavista Futebol Clube. Pour le meilleur et pour le pire. Cette année, As Panteras ont souvent flirté avec la relégation. Et c'est seulement lors de l'ultime journée de Liga NOS qu'elles ont assuré leur maintien dans l'élite du football portugais, après avoir renversé Gil Vicente (2-1). Forcément, au coup de sifflet final, un sentiment de soulagement prédominait chez Adil Rami.

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L'ancien joueur de Valence, Milan, Séville, Marseille, Fenerbahçe ou Sotchi a eu bien du mal à contenir ses émotions. En larmes, il s'est exprimé : «j'ai la chance d'avoir déjà été champion du monde et d'avoir remporté la Ligue Europa. Je ne suis ni Portugais ni du Boavista, mais j’ai appris à connaître le club et le cœur des supporters. Ce fut une année difficile pour moi, je viens de faire un an sans jouer et j'ai eu beaucoup de blessures, mais Luís Campos a montré beaucoup de confiance en moi. Heureusement j'ai pu aider l'équipe, mais Boavista m'a aussi beaucoup aidé. Je remercie Luís Campos, Boavista et ma famille» a rapporté Record.

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