Transferts Ligue 1

Makoun rembarre le Barça, MU et le Real et s'offre à l'OM !

Courtisé par de prestigieuses équipes européennes, l'international camerounais souhaite rester en France et aurait donné sa priorité à l'OM. Un appel du pied qui pourrait être reçu avec attention par les dirigeants phocéens, à la recherche d'un milieu de terrain défensif d'envergure.

Par Sébastien DENIS
2 min.
Jean II Makoun Maxppp

À l'instar de Jean-Alain Boumsong, Jean II Makoun fait partie des joueurs qui sont clairement sur la sellette du côté de Lyon. Mais contrairement au défenseur international français, le milieu camerounais dispose d'une belle cote sur le marché des transferts et devrait rapporter plus d'une dizaine de millions d'euros aux dirigeants rhodaniens.Parmi les prétendants figure le gratin de scène européenne, à savoir Manchester United, Barcelone ou le Real Madrid.

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Interrogé par Skysports, l'ancien Lillois s'est livré à une étonnante déclaration. En effet, il refuse les avances de ces trois écuries européennes et indique qu'il souhaite d'abord se concentrer sur le Mondial. « Pour le moment, je ne suis pas intéressé par un transfert vers Manchester United, le FC Barcelone ou le Real Madrid. Mon but en ce moment est d'être performant avec mon pays et d'essayer de créer l'histoire, ici en Afrique, afin de réaliser un de mes rêves de gosse. »

Mais Jean II Makoun a de la suite dans les idées et contrairement aux pistes menant à l'étranger, il ouvre la porte à l'OM, qui le suit également avec insistance depuis plusieurs semaines. « Marseille est un grand club, mais attendons pour voir. » À la recherche d'un élément capable de faire le rôle de sentinelle devant la défense, les dirigeants olympiens pourraient se rabattre sur la piste Makoun en cas d'échec de la piste Alou Diarra. Contrairement au Bordelais qui reste étonnamment muet sur le sujet, Makoun se montre plus loquace. Toutefois, l'indemnité demandée par l'OL (14 M€, soit le montant payé à Lille pour le recruter il y a deux ans) pourrait les faire réfléchir à deux fois avant de se lancer officiellement sur le dossier Makoun.

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