Joyau de la couronne rennaise, Eduardo Camavinga suscite énormément d'intérêts à seulement 17 ans. En Espagne, le nom du jeune Français fait beaucoup parler du côté de Madrid. Et après être monté au créneau, Julien Stéphan en a remis une couche.
Depuis qu'il a foulé les pelouses de Ligue 1 pour la première fois en avril 2019 à seulement 16 ans, Eduardo Camavinga a immédiatement été couvé par le Stade Rennais. À l'époque président du club breton, Olivier Létang avait également tout fait pour faire signer à sa pépite son premier contrat professionnel, puis une prolongation jusqu'en 2022 très rapidement après. Côté médias, face à l'intérêt que suscite le jeune milieu de terrain, Rennes a toujours voulu le préserver des sollicitations médiatiques.
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Mais dernièrement, le SRFC sait qu'une grosse bataille s'est engagée. Face aux prestations convaincantes de son talent précoce, le club rouge-et-noir doit gérer des courtisans de plus en plus pressants, et surtout de plus en plus prestigieux. En Espagne, Zinedine Zidane et le Real Madrid ont ainsi coché le nom du Rennais. Et aujourd'hui, Rennes n'est pas sûr de pouvoir lutter bien longtemps avec les Merengues. Un sujet que son entraîneur Julien Stéphan a de nouveau abordé, après avoir signé une première intervention il y a deux jours.
Stéphan espère encore que Camavinga va rester
« Oui, il en a les capacités (de jouer au Real Madrid). À moyen terme, je le vois évoluer au sein d’une structure de très haut niveau avec les exigences qui vont avec. Pour suivre sa progression, il a toutes les qualités pour s’installer un jour dans un grand club », a-t-il déclaré dans un entretien accordé à AS, avant de répéter son envie de voir son jeune milieu de terrain rester une saison supplémentaire en Bretagne.
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« Je lui donne toujours le conseil de rester une année de plus à Rennes parce que c’est son club formateur. Après une bonne saison, il faut toujours confirmer et ce serait plus facile pour lui de le faire ici. Je crois qu’il lui reste encore des étapes à franchir avant de faire le grand saut vers un top club. Il y a une différence entre pouvoir jouer une saison à haut niveau avec son club formateur et jouer tous les trois jours et 60 matches par saison dans un très grand club. » Reste maintenant à savoir si le principal intéressé sera d’accord.
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