Man City : quand Mangala livre son ressenti sur son statut de défenseur le plus cher de l’histoire

Par La Rédaction FM
2 min.
Manchester City FC Eliaquim Mangala @Maxppp

Débarqué à Manchester City cet été en provenance de Porto, Eliaquim Mangala a fait l’objet d’un énorme transfert, qui fait de lui le défenseur le plus cher de l’histoire du football. Pour la première fois, l’international français a livré son ressenti sur cette étiquette, pas si lourde à porter à ses yeux.

53 M€. Tel est le montant du transfert d’Eliaquim Mangala à Manchester City. Un montant vertigineux, qui a fait du Français le défenseur le plus cher de l’Histoire. Un statut lourd à porter, qui l’expose aux critiques alors qu’il doit, comme tout élément transféré dans un nouveau championnat, observer une période d’adaptation. Mais malgré son jeune âge – 23 ans – l’international tricolore (4 sélections) ne ressent pas la pression inhérente à son étiquette. C’est ce qu’il a assuré aujourd’hui à L’Équipe.

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« Ce n’est pas un poids. C’est le fruit d’une négociation entre deux clubs entre deux clubs. Par contre, ça me donne des responsabilités. Ça veut dire que Manchester a mis une grosse somme sur moi, qu’il a confiance. Mais ce n’est pas un poids. Je ne vais pas empêcher les gens de parler et de dire : “Oh ! On a mis cette somme, il a raté un contrôle”. » Les critiques, le jugement des supporters, Mangala n’en a donc pas peur, quand bien même il se sait observé. « Ça peut se comprendre. Mais j’ai été super bien accueilli par les supporters. Je n’ai jamais senti le poids de mon transfert. Ni chez les supporters, ni chez les joueurs. »

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Si ce n’est après une prestation mitigée à Hull fin septembre, Mangala n’a pour l’instant pas été pointé du doigt, et semble déjà faire l’unanimité au sein du club mancunien. À défaut d’être déjà un indiscutable, il fait partie de la rotation de coach Pellegrini et ne doute pas de sa capacité à s’imposer. « Si j’ai craint de ne pas être au niveau ? Ce n’était pas une crainte, non. Je connais mes qualités. Tout est une question d’adaptation. Si je crois en moi, si je travaille pour me mettre au niveau, je vais franchir cette étape. (...) Aujourd'hui, je ne me mets pas de limite. J'ai 23 ans, je continue à construire, construire pour voir jusqu'où je peux aller. » Nul doute qu'une carrière à la hauteur de son statut aurait de quoi le contenter.

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