Ligue 1

OL : Maxime Gonalons juge l'ogre PSG et répond aux rumeurs d'un contrat à Naples !

En bon capitaine qu'il est, Maxime Gonalons a fait la tournée des médias, à l'aube d'un choc opposant son club de l'Olympique Lyonnais au Paris Saint-Germain.

Par Khaled Karouri
2 min.
Olympique Lyonnais Maxime Gonalons Maxppp

Paris Saint-Germain - Olympique Lyonnais, ou quand les rôles s'inversent. Il y a quelques années de cela, c'était bien les Gones qui démarraient cette rencontre comme les favoris ultimes, les Franciliens étant à la peine. Aujourd'hui, c'est dans le sens inverse que les deux formations préparent cette rencontre. L'ogre parisien marche sur la L1, quand les hommes de Jean-Michel Aulas doivent désormais jouer des coudes pour accrocher une place européenne. Interrogé par Le Progrès, le capitaine rhodanien Maxime Gonalons ne cache d'ailleurs pas la supériorité francilienne :

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« Ce qui est sûr, c’est que le PSG est le favori du championnat et affiche déjà une avance considérable sur leurs rivaux désignés. Cette saison, je le trouve plus impressionnant. Il est fort dans toutes les lignes et il a trouvé un milieu à trois qui est l’un des plus complémentaires d’Europe. Les Parisiens impriment une intensité incroyable. Ils mettent régulièrement trois à quatre buts à tout le monde. C’est du costaud! Et puis, ils ne perdent jamais. Et quand on ne perd pas, on avance plus vite. Maintenant, sur un match, tout reste possible ».

Tout reste possible sur ce match, comme en ce qui concerne l'avenir du milieu de terrain. En effet, alors que l'intéressé répète à l'envi qu'il ne partira pas, la presse italienne a révélé l'existence d'un accord entre l'OL et Naples, pour un transfert de 12 M€. Une information qui est arrivée jusqu'aux oreilles du milieu récupérateur : « Oui, j’ai vu que j’avais signé, qu’un contrat était fait. Je ne suis pas au courant ! C’est impossible que je parte cet hiver. Si je suis resté cet été, c’est pour faire la saison en entier. J’ai encore des choses à prouver et à apprendre. Ensuite, en juin, on verra », lance-t-il au Parisien. À bon entendeur...

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