L’arrivée des Qataris a permis au club de retrouver des couleurs au niveau marketing puisque la marque PSG fait de nouveau recette. Seul problème, le club de la capitale n’avait pas prévu un tel engouement et se retrouve victime de son succès, surtout au niveau de la vente de maillots qui pourrait atteindre des niveaux records cette saison.
Largement dépassé par l’OM et même par l’OL ces dernières saisons, le PSG serait-il en train de grappiller son retard sur ses illustres concurrents ? Une chose est sure, l’arrivée des dirigeants qataris au sein du club de la capitale a permis à Paris de retrouver son lustre d’antan. Pour preuve, la belle affluence affichée par le Parc des Princes depuis le début de la saison et surtout les ventes de maillots qui explosent dans la boutique du club.
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C’est même la rupture de stock concernant la célèbre tunique rouge-et-bleu et il ne restait plus guère que le XXL pour celui qui souhaite acheter le maillot de son équipe favorite. Une bonne nouvelle pour le directeur financier du club parisien puisqu’un maillot se vend 100 € (75 € + 25 € de flocage). Et pour faire face à la demande croissante, le PSG a demandé à Nike de procéder à une fabrication express de 20 000 nouveaux maillots, fabriqués en Thaïlande et acheminés en France via les Pays-Bas pour une mise en rayon d’ici une semaine.
Au niveau des joueurs stars du flocage, se trouvent bien évidemment Javier Pastore loin devant Nene et Kevin Gameiro, comme le rapporte l’un des préposés au flocage de la boutique, interrogé par le Parisien. « La semaine passée, nous avons eu une rupture de stocks sur les lettres A, O et S. C’est l’effet Pastore. Deux maillots sur trois sont floqués à son nom. Viennent ensuite loin derrière Nene et Kevin Gameiro. » Et dire que David Beckham n’a pas encore signé. Si le Spice Boy rejoint la capitale, Nike et le PSG peuvent d’ores et déjà se frotter les mains et préparer une nouvelle commande d’envergure. À ce rythme, l'OM peut craindre pour son leadership au niveau des ventes de maillots puisque le temps pas si lointain (2009) où le club phocéen vendait deux fois plus de maillots que le PSG semble révolu.
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