Info FM : à la découverte de Waly Diawara, jeune talent français qui plaît en Angleterre

Par Alexis Pereira
2 min.
Après Caen, Waly Diawara pourrait découvrir l'Angleterre @Maxppp

Comme chaque dimanche matin, FM vous propose de partir à la découverte d'un jeune espoir faisant parler de lui. Cette semaine, nous partons à la rencontre de Waly Diawara, grand espoir passé par Caen. Le prometteur milieu de terrain vous raconte son parcours.

La Premier League aime venir faire son marché en Ligue 1. Mais les clubs de l'élite anglaise ont également un œil sur les talents en devenir du football tricolore. Ainsi, plusieurs écuries s'intéressent à Waly Diawara (16 ans), jeune milieu de terrain défensif. Contacté par nos soins, l'intéressé nous a raconté son parcours. «Je suis milieu défensif. Ma qualité principale, je dirais l'intelligence de jeu. Je peux encore m'améliorer sur le plan physique. J'ai commencé à Ivry-sur-Seine. J'ai fait des tests vers l'âge de 10 ans puis je suis parti à Caen. J'ai joué là-bas jusqu'à aujourd'hui», a-t-il indiqué.

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Non retenu par le Stade Malherbe, ce fan de Yaya Touré - «il passe, il marque, il sait tout faire, c'est un grand joueur» - a passé des essais cet été pour trouver preneur. «J'ai fait un essai à Reading, ça s'est plutôt bien passé dans l'ensemble. Ensuite, j'ai été à Wolverhampton, c'était bien meilleur (selon nos informations, les Wolves ont particulièrement apprécié son passage et le gardent à l'oeil). En Italie, à l'Atalanta, c'était vraiment moyen. Sur le terrain, ça allait mais, en dehors, c'était plus compliqué. (...) Je devais faire des essais à City aussi cet été mais ils ont dû repousser car ils avaient rempli leur quota de jeunes joueurs étrangers. Ils devraient me rappeler dans l'année», a-t-il expliqué, lui qui rêve d'un avenir doré. «Mon rêve, comme beaucoup de joueurs, ce serait de jouer en Premier League. J'aime beaucoup Chelsea», a-t-il avoué.

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Attiré par l'étranger, ce n° 6 habile et précieux, qui s'entraîne en parallèle, attend désormais de trouver chaussure à son pied. «On voit vraiment qu'entre la France et l'étranger, c'est vraiment différent. Il y a beaucoup de détails qui font la différence. Pour s'occuper des jeunes, ils sont six ou sept coaches quand en France on n'en a qu'un... Ces expériences m'ont donné envie de tenter ma chance à l'étranger», a-t-il conclu, même s'il ne fermerait pas la porte à un centre de formation ambitieux en France. Avis aux amateurs.

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